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« Anti-pédagogique et injuste socialement » : c'est en ces termes que la FCPE dénonce la proposition de loi du député UMP des Alpes-Maritimes Éric Ciotti prévoyant la suspension des allocations familiales en cas d'absentéisme scolaire, adoptée hier définitivement par le Parlement (AEF n°260457).
La proposition de loi du député Éric Ciotti (UMP, Alpes-Maritimes) relative à la suspension des allocations familiales en cas d'absentéisme scolaire a été adoptée au Sénat à main levée et sans modification mercredi 15 septembre 2010 en début de soirée (AEF n°265616). Cette loi vise à donner à « la décision de suspendre les allocations familiales en cas d'absentéisme scolaire injustifié et répétitif d'un élève […] un caractère systématique », conformément à la volonté exprimée par le président de la République, Nicolas Sarkozy le 20 avril 2010 à Bobigny (Seine-Saint-Denis) (AEF n°270778).
Éric Ciotti, député UMP des Alpes-Maritimes, déposera demain vendredi 30 avril 2010 à l'Assemblée nationale sa proposition de loi sur la suspension des allocations familiales en cas d'absentéisme. Conformément à la volonté exprimée par le président de la République, Nicolas Sarkozy, lors d'un déplacement le 20 avril à Bobigny (Seine-Saint-Denis), l'objectif de cette proposition de loi est que « la décision de suspendre les allocations familiales en cas d'absentéisme scolaire injustifié et répétitif d'un élève [ait] un caractère systématique » (AEF n°270778). Éric Ciotti détaille pour AEF ce nouveau dispositif qui replace l'inspecteur d'académie au coeur du processus (AEF n°269987).
« Dans chacun des 53 établissements identifiés comme particulièrement sensibles », il sera proposé aux chefs d'établissement « la mise en place d'un policier ou d'un gendarme référent », annonce Nicolas Sarkozy, mardi 20 avril 2010, à l'occasion d'un déplacement à Bobigny (Seine-Saint-Denis). « Nous allons demander l'installation d'un bureau pour qu'il puisse recevoir les jeunes à l'intérieur des établissements. Cela se fera sur la base du volontariat du chef d'établissement », ajoute le président de la République. Si les chefs d'établissement venaient à « refuser la présence d'un policier référent, ils devront le signaler par écrit au ministre de l'Intérieur ». « Comme cela, chacun prend ses responsabilités », estime Nicolas Sarkozy.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :