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La France et l'Egypte, co-présidents de l'Union pour la Méditerranée, proposent la création d'un « réseau des aménageurs et des opérateurs urbains méditerranéens » pour la fabrication de la ville durable méditerranéenne, déclare Fadela Amara, secrétaire d'Etat chargée de la ville. Elle s'exprime lors du forum international « Villes nouvelles en Méditerranée, pour des métropoles durables », co-organisé à Marseille avec le ministère égyptien de l'Infrastructure et de l'Habitat, jeudi 30 septembre 2010.
L'AFD (Agence française de développement) annonce, mercredi 29 septembre 2010, le lancement d'un « plan international de sauvegarde de la biodiversité du bassin méditerranéen » réunissant quatre pays. Une première tranche de dix millions de dollars est avancée pour les cinq prochaines années. Près d'un demi-milliard d'êtres humains vivent autour du bassin méditerranéen et plus de 220 millions de touristes viennent chaque année visiter la région.
« Comment concilier les aspirations et les rêves du citoyen-habitant avec les impératifs du développement durable et ceux de la réalité économique ? » C'est la question que se pose Véronique Willemin créatrice du groupe de recherche Tropical Wood Housing, dans l'ouvrage intitulé « Habiter demain : de l'utopie à la réalité » (Éditions Alternatives), rassemblant les contributions d'architectes et d'urbanistes, mais aussi de sociologues et de promoteurs sur la ville durable.
Des mesures obligatoires pour l'élimination des produits chimiques dangereux et des pesticides rejetés dans la mer Méditerranée entre 2015 et 2019 sont entrées en vigueur, mercredi 16 juin 2010, dans le cadre du Plan d'action pour la Méditerranée. Ce plan géré par le Pnue (Programme des Nations unies pour les changements climatiques) est une institution régionale qui coordonne la mise en oeuvre de la convention de Barcelone. Celle-ci a été adoptée en 1976 par les 21 pays du bassin méditerranéen et l'Union européenne, afin de protéger le littoral et les eaux marines.
« Un changement d'échelle à partir de ces expériences pionnières est aujourd'hui nécessaire, appelant à une mise en synergie des pouvoirs à de multiples niveaux. » C'est ce que déclarent Cyria Emelianoff, géographe et maître de conférences à l'université du Maine, et Ruth Stegassy, journaliste, en avant-propos au livret disponible sur internet, qui est un condensé de l'ouvrage « Les pionniers de la ville durable », paru en avril 2010 aux éditions Autrement, avec le soutien de la Caisse des dépôts. Le livre revient sur le rôle des collectivités territoriales européennes dans la mise en oeuvre de politiques urbaines en matière de développement durable. De ville en ville, les témoignages s'assemblent pour dessiner la ville durable à travers sept thématiques : les villes en campagne, les réseaux à l'appui, un changement de climat, des agendas pour tourner une page, les passeurs, habitats durables et les villes en transition.
Quel sera le visage de la « ville durable de demain » ? C'est sur cette question qu'ont échangé architectes, urbanistes, syndicalistes, associations, maires ou encore professionnels de la finance lors d'une table ronde organisée pendant la conférence nationale ville durable, le mercredi 4 novembre au musée du quai Branly à Paris (L'AEF n°287002).