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« Optiquement, le budget affecté au fonds d'expérimentation pour la jeunesse (FEJ) est en baisse, mais je vais vous démontrer que c'est le contraire », déclare le ministre de la Jeunesse et des Solidarités actives, jeudi 30 septembre 2010, lors de la présentation du PLF 2011 de son ministère (AEF n°259402). Le budget relatif à la jeunesse et la vie associative est doté de 212,5 millions d'euros, soit une augmentation de 10 % par rapport à 2010. Les crédits sont répartis comme suit : 111 millions d'euros pour le soutien des initiatives et de l'engagement des jeunes, 53,7 millions d'euros pour l'insertion des jeunes et 47,8 millions d'euros pour le développement de la vie associative.
420 millions d'euros en crédits de paiement (410 millions d'euros en AE) sont inscrits au budget 2011 de la mission sport, jeunesse et vie associative, selon les documents budgétaires présentés mercredi 29 septembre 2010 par le ministère du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'État. Le programme jeunesse et vie associative bénéficie de 212 millions d'euros de crédits de paiement et le programme sport, de 209 millions d'euros. La mission emploie 976 ETP. Les plafonds de la mission s'élèvent à 435 millions d'euros pour le PLF 2012 et 470 millions d'euros pour le PLF 2013.
« Ce que des hommes comme Martin Hirsch [ ex-haut-commissaire à la Jeunesse et haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté] ont imaginé, des hommes comme moi sont en train de le réaliser », déclare Marc-Philippe Daubresse, ministre de la Jeunesse et des Solidarités actives, mardi 28 septembre 2010 à l'occasion du bilan du plan Agir pour la jeunesse, un an après son annonce par Nicolas Sarkozy, le président de la République, lors d'un discours en Avignon (AEF n°288540). Le ministre rappelle que ce plan a « mis en exergue deux grandes valeurs : l'autonomie et la responsabilité », et engagé « une mobilisation collective et transversale, notamment interministérielle ». Pour autant, il décèle « un point très négatif » : « le fait qu'il n'y ait pas eu de coordination, d'ancrage territorial et de pérennisation des parcours sécurisés ». « L'idée de la territorialisation est désormais celle que je veux mobiliser », précise Marc-Philippe Daubresse.