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L'E2Cel (École de la deuxième chance de l'estuaire de la Loire), basée à Nantes, a ouvert ses portes le 4 octobre 2010 avec 24 stagiaires. L'établissement est créé à l'initiative de Nantes Métropole, la communauté urbaine de Nantes. L'E2Cel est présidée par Patrick Rimbert (PS), adjoint au maire de Nantes et vice-président de Nantes Métropole, et administrée par une association qui réunit l'État, le conseil régional des Pays-de-la-Loire, le conseil général de Loire-Atlantique, Nantes Métropole, la Carene (communauté d'agglomération de la région nazairienne et de l'estuaire), la CCI de Nantes-Saint-Nazaire et la Chambre de métiers et de l'artisanat de Loire-Atlantique.
« Il faut consolider les financements des écoles de la deuxième chance, dont je suis un avocat total », indique Marc-Philippe Daubresse, ministre de la Jeunesse et des Solidarités actives, lors d'une visite de l'École de la deuxième chance de Roubaix (Nord) jeudi 22 avril 2010. « Je ferai tout pour que les arbitrages budgétaires qui seront rendus dans les deux mois qui viennent permettent d'atteindre cet objectif », s'engage-t-il.
« 7 000 jeunes » sont actuellement accueillis dans les 57 écoles labellisées E2C (Écoles de la deuxième chance), indique Fadéla Amara, secrétaire d'État chargée de la Politique de la Ville, mardi 30 mars 2010. Parmi ces jeunes âgés de 18 à 25 ans, 3 080 sont « issus des territoires de la politique de la Ville ». Par ailleurs, d'ici la fin de l'année 2010, « 39 écoles supplémentaires ouvriront dans six nouvelles régions et 22 nouveaux départements, dont trois d'Outre-mer », ce qui portera à 96 le nombre total d'E2C. Le gouvernement s'est fixé pour objectif de créer « 4 200 places supplémentaires dans les E2C en 2010, pour atteindre 12 000 places en 2010 », selon une circulaire DGEFP de juin 2009 (AEF n°299143). L'objectif fixé dans le cadre de la « dynamique Espoir Banlieues » est de parvenir à 15 000 places en 2012, un chiffre que le secrétariat d'État estime « atteignable ».
Le conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur et l'État vont expérimenter un « label régional de la deuxième chance » en région Paca. Selon les termes de la convention de partenariat « 2009/2010 pour le développement et la sécurisation des dispositifs de la 2e chance » adoptée par les élus de l'assemblée régionale réunis en séance plénière hier, lundi 7 décembre 2009, l'État et la région souhaitent « mettre en place une approche globale sur l'ensemble des formations de « deuxième chance », en vue d'un « déploiement équilibré des dispositifs de la deuxième chance existant sur le territoire régional ».
« Le financement de l'État ne pourra dépasser le tiers du coût total » du programme de développement des E2C (Écoles de la deuxième chance) annoncé par Nicolas Sarkozy lors de la présentation du « plan d'urgence » en faveur des jeunes, le 24 avril 2009 (L'AEF n°291935). C'est ce qu'indique une circulaire DGEFP n°2009/13 du 5 mai 2009 relative au développement et au financement des E2C que l'AEF s'est procurée. Conformément aux annonces du président de la République, « le gouvernement s'est fixé pour objectif de créer 3 000 places supplémentaires dans les E2C en 2009 et 4 200 places en 2010, pour atteindre 12 000 places en 2010 ». L'État mobilisera « 26 millions d'euros » sur cette période dans le cadre du Fiso (Fonds d'investissement social). Les services déconcentrés de l'État (préfets, DRTEFP, recteurs) doivent transmettre « pour le 22 juin 2009 au plus tard » un plan pluriannuel de développement .
Elles sont plus de 400 habilitées à expérimenter l’accompagnement des transitions professionnelles en recourant au CDD tremplin. Un arrêté du 4 juillet, publié le 9 août au Journal officiel, met à jour la liste des entreprises adaptées retenues dans le cadre de ce dispositif. L’annexe de l’arrêté mentionne leur raison sociale, et la date de leur habilitation. Elle complète ainsi celle de l’arrêté du 22 avril dernier. L’objectif du CDD tremplin est de permettre à la personne en situation de handicap d’acquérir une expérience et de suivre une formation en entreprise adaptée, avant de poursuivre son projet chez un autre employeur, privé ou public.