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« Les deux projets d'accords-cadres avec le CNRS et l'Inserm ont été adoptés par l'assemblée plénière de la CPU le 16 septembre dernier, et sont maintenant entre les mains de ces organismes », déclare à AEF Axel Kahn, président de l'université Paris-Descartes et président de la commission recherche de la CPU, jeudi 14 octobre 2010. « Le CNRS doit présenter le projet à son prochain conseil d'administration », qui se tient le 28 octobre 2010. « Après cela, les accords seront signés conjointement avant la fin de l'année par le président de la CPU et le PDG du CNRS d'une part, et de l'Inserm d'autre part, en présence de la ministre. »
« Nos relations avec les EPST sont de plus en plus confiantes », déclare Jean-Charles Pomerol, président de l'UPMC, qui se félicite de « la présence symbolique mais importante » d'Alain Fuchs et d'André Syrota, respectivement PDG du CNRS et de l'Inserm, lors de la table ronde de clôture de la première journée des directeurs d'unités de l'UPMC, lundi 4 octobre 2010. « Les temps changent : nous partageons l'objectif de voir émerger en France quelques grandes universités mondiales qui soient attractives pour les chercheurs et pour les étudiants. Cela changera tout le système de l'enseignement supérieur. Mais les universités ne peuvent pas le faire toutes seules, et les organismes de recherche non plus. Nous allons donc le faire ensemble. »
Les représentants de neufs établissements d'enseignement supérieur et de recherche lorrains (les quatre universités du PRES de l'université de Lorraine, le CNRS, l'Inra, l'Inria, l'Inserm et le CHU de Nancy) viennent de « réaffirmer leur détermination à positionner la Lorraine au plan international en tant que site de recherche scientifique d'excellence », en signant une « convention de site » commune (2009-2012) en présence d'Alain Fuchs, président du CNRS, lundi 20 septembre 2010 au siège du PRES à Nancy. Ces acteurs font partie du CCOSL (comité de coordination et d'orientation scientifique lorrain), un organe lancé en 2007 au niveau nancéien, puis élargi à Metz. « Il s'agit [pour le CNRS] de situer le contexte et d'énoncer les éléments stratégiques de la politique à mettre en oeuvre, en termes de politique scientifique, de politique de formation doctorale, et de politique d'attractivité visant l'accueil des chercheurs, des enseignants-chercheurs et des personnels administratifs », souligne Alain Fuchs, s'exprimant devant une vingtaine de directeurs de laboratoires lorrains. A cette occasion, le président du CNRS a aussi signé la convention d'application du contrat quadriennal 2009-2012 avec les universités lorraines.
« Quelle que soit la structuration que retiendra le site de Bordeaux dans l'avenir, nous sommes prêts à signer une convention de site en 2011 », déclare à la presse le président du CNRS Alain Fuchs, lundi 12 juillet 2010 sur le campus bordelais, à l'issue de sa rencontre avec les membres du PRES Université de Bordeaux et les responsables locaux des Arts et métiers. Le CNRS n'abandonnera pas ses partenariats avec les établissements, mais il souhaite conclure des conventions plus stratégiques à l'échelle des grands sites universitaires, une fois que le paysage se sera réorganisé à l'issue des réponses aux appels à projets des investissements d'avenir. « Nous sommes venus présenter l'idée, mais nous avons besoin de creuser davantage le contenu [de ces nouveaux partenariats] », affirme Alain Fuchs, précisant que cette proposition a reçu « un accueil très favorable de la part des Bordelais ».
« Il s'est passé un fait très rare : un intervenant a été applaudi en séance plénière » : c'est ainsi que Lionel Collet, président de la CPU, résume l'intervention d'Alain Fuchs, président du CNRS, devant les présidents d'université réuni à Paris, le 15 avril 2010 en séance plénière, et dévoilée dans une interview accordée à AEF (AEF n°270954). « Alain Fuchs se place dans une logique de grande clarification », indique Lionel Collet à AEF. « La France et les universités ont besoin d'un CNRS fort, centré sur ses missions scientifiques, pour bâtir des partenariats scientifiques de site. Dans son discours, le président du CNRS s'y est montré plus que favorable et a même évoqué la possible participation de son organisme à la gouvernance des PRES et des futurs campus d'excellence. C'est en totale rupture avec l'ancien CNRS qui, sous prétexte de sa vocation nationale, se refusait à participer à des alliances de site. »