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Le taux d'emploi moyen des diplômés 2007 de master est de 86,9 % en lettres, langues et arts, de 90,1 % en sciences humaines et sociales, de 92,2 % en droit-économie-gestion, de 92,3 % en sciences, techniques et santé, selon l'enquête commune d'insertion publiée sur le site du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche vendredi 15 octobre 2010. Les taux d'emploi par université et par domaine sont disponibles dans le document joint. Toutes disciplines confondues, le taux d'emploi moyen de ces diplômés, 30 mois après leur sortie, est de 91,4 % (AEF n°257946). L'enquête a été menée par les universités de décembre 2009 à mars 2010, sur la base d'un questionnaire en partie commun (AEF n°287204), auprès de 43 000 jeunes diplômés. Le taux de réponse exploitable est de 62,6 %.
Le taux d'emploi moyen des diplômés 2007 de masters, 30 mois après leur sortie, est de 91,4 % toutes disciplines confondues, selon les résultats de l'enquête commune d'insertion publiés par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche vendredi 15 octobre 2010 et mis en ligne sur le site du ministère. Ce taux correspond à la proportion des diplômés de nationalité française occupant un emploi sur l'ensemble des diplômés qui cherchent un emploi (1). En outre, la moitié des universités affichent un taux d'emploi de leurs diplômés supérieur à 91,8 %. L'enquête a été menée par les universités de décembre 2009 à mars 2010, sur la base d'un questionnaire en partie commun (AEF n°287204).
« Les résultats [des universités] sont bons, très bons même avec un taux global d'insertion de 91,4 %. (…) Ce sont des taux presque comparables à ceux des grandes écoles », déclare Valérie Pécresse à propos des résultats agrégés de la première enquête d'insertion menée par les universités sur la base d'un questionnaire en partie commun (AEF n°287204). Cette interview qui doit paraître dans le « Figaro magazine » daté du 16 octobre 2010, a été publiée en avant-première par le blog comcampus. « Aujourd'hui, nous avons un classement national, avec une même méthodologie, un seul indicateur », explique la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
Quarante huit établissements d'enseignement supérieur des vagues dites B, C, D comptent, en « sciences du vivant », la moitié de leurs spécialités et 42 % de leurs mentions de masters notées « A+ » et « A » par l'Aeres (les meilleures notes parmi quatre : « A+ », « A », « B », « C »). L'Aeres a évalué ces formations en vue d'une contractualisation (1) de leurs établissements pour 2008-2011 (vague B), pour 2009-2012 (vague C) et pour 2010-2013 (vague D). En « sciences du vivant », 459 spécialités et 129 mentions de masters ont été évaluées. AEF a compilé les notes de masters pour les vagues B, C et D, en se référant aux rapports publics de l'Aeres (2).
En « sciences dures », soixante-cinq établissements d'enseignement supérieur des vagues dites B, C, D comptent 56 % de leurs spécialités et 53 % de leurs mentions de masters notées « A+ » et « A » par l'Aeres (les meilleures notes parmi quatre : « A+ », « A », « B », « C »). L'Aeres a évalué ces formations en vue d'une contractualisation (1) de leurs établissements pour 2008-2011 (vague B), pour 2009-2012 (vague C) et pour 2010-2013 (vague D). En « sciences dures », 898 spécialités et 291 mentions ont été évaluées. AEF a compilé les notes de masters pour les vagues B, C et D, en se référant aux rapports publics de l'Aeres (2).
Soixante cinq établissements d'enseignement supérieur des vagues dites B, C et D comptent, en « SHS » (sciences humaines et sociales), 54 % de leurs spécialités et 48 % de leurs mentions de masters notées « A+ » et « A » par l'Aeres (les meilleures notes parmi quatre : « A+ », « A », « B », « C »). L'Aeres a évalué ces formations en vue d'une contractualisation (1) de leurs établissements pour 2008-2011 (vague B), pour 2009-2012 (vague C) et pour 2010-2013 (vague D). En « SHS », 2 881 spécialités et 901 mentions ont été évaluées. AEF a compilé les notes de masters en se référant aux rapports publics de l'Aeres (2).
107 établissements d'enseignement supérieur des vagues dites B, C et D de contractualisation comptent, toutes disciplines confondues, 54 % de leurs spécialités et 49 % de leurs mentions de masters notées « A+ » et « A » par l'Aeres (les meilleures notes parmi quatre : « A+ », « A », « B », « C »). L'Aeres a évalué ces formations en vue d'une contractualisation (1) de leurs établissements pour 2008-2011 (vague B), pour 2009-2012 (vague C) et pour 2010-2013 (vague D). Au total, 4 240 spécialités et 1 321 mentions ont été évaluées. AEF a compilé les notes de masters en se référant aux rapports publics de l'Aeres (2).