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« L'évolution récente du système français de recherche et d'enseignement supérieur conduit le CNRS et la CPU à convenir de nouvelles modalités de collaboration entre le CNRS et les universités », déclare le préambule de l'accord-cadre que le CNRS et la CPU signent jeudi 4 novembre 2010, pour une durée de quatre ans, et qu'AEF s'est procuré. Un attendu similaire introduit l'accord-cadre entre l'Inserm et la CPU, qu'AEF s'est également procuré. La signature des deux accords-cadres se déroule dans la matinée au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, en présence d'Olivier Pagezy, directeur de cabinet de Valérie Pécresse (AEF n°256485).
La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche « se félicite de la signature par la Conférence des présidents d'université de deux accords, le premier avec l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et le second avec le CNRS (Centre national de la recherche scientifique », indique le ministère dans un communiqué diffusé jeudi 4 novembre 2010. La signature de ces deux accords-cadres est intervenue ce même jour, dans la matinée, dans les locaux du ministère (AEF n°256523). La ministre « salue l'exemplarité de ces deux nouveaux accords qui participent à la mise en place d'un large partenariat entre les universités et les organismes de recherche », ajoute le communiqué.
Les deux accords-cadres entre la CPU et le CNRS d'une part (AEF n°258069), la CPU et l'Inserm d'autre part (AEF n°258093), devraient être signés jeudi 4 novembre 2010 dans la matinée au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, indiquent à AEF plusieurs sources concordantes. La ministre Valérie Pécresse, absente, devrait être représentée par son directeur de cabinet Olivier Pagezy.
« Nos relations avec les EPST sont de plus en plus confiantes », déclare Jean-Charles Pomerol, président de l'UPMC, qui se félicite de « la présence symbolique mais importante » d'Alain Fuchs et d'André Syrota, respectivement PDG du CNRS et de l'Inserm, lors de la table ronde de clôture de la première journée des directeurs d'unités de l'UPMC, lundi 4 octobre 2010. « Les temps changent : nous partageons l'objectif de voir émerger en France quelques grandes universités mondiales qui soient attractives pour les chercheurs et pour les étudiants. Cela changera tout le système de l'enseignement supérieur. Mais les universités ne peuvent pas le faire toutes seules, et les organismes de recherche non plus. Nous allons donc le faire ensemble. »
« Il s'est passé un fait très rare : un intervenant a été applaudi en séance plénière » : c'est ainsi que Lionel Collet, président de la CPU, résume l'intervention d'Alain Fuchs, président du CNRS, devant les présidents d'université réuni à Paris, le 15 avril 2010 en séance plénière, et dévoilée dans une interview accordée à AEF (AEF n°270954). « Alain Fuchs se place dans une logique de grande clarification », indique Lionel Collet à AEF. « La France et les universités ont besoin d'un CNRS fort, centré sur ses missions scientifiques, pour bâtir des partenariats scientifiques de site. Dans son discours, le président du CNRS s'y est montré plus que favorable et a même évoqué la possible participation de son organisme à la gouvernance des PRES et des futurs campus d'excellence. C'est en totale rupture avec l'ancien CNRS qui, sous prétexte de sa vocation nationale, se refusait à participer à des alliances de site. »
Mercredi 25 janvier 2023, ICPF a annoncé ouvrir son capital à hauteur de 30 % par le biais d’une levée de fonds de 4 millions d’euros réalisée auprès de la société d’investissement CITA. Objectif : permettre à cet organisme de certification qualité, qui est accrédité par le Cofrac pour délivrer Qualiopi - cette activité représentant l’essentiel de son chiffre d’affaires, de lancer en septembre 2023 une nouvelle version de sa plateforme numérique avec pour ambition de proposer aux autres organismes certificateurs "une plateforme intégrée de gestion de leurs propres offres de certification, d’évaluation ou d’inspection", explique à AEF info François Galinou, le président d’ICPF. L'organisme souhaite également "déployer une offre de mise en relation entre les certificateurs et les organismes de formation qui ne savent pas nécessairement se faire habiliter sur Qualiopi."