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Dévolution : Antoine Aiello (Corse) demande « une compensation stable appuyée sur la valeur des biens et le coût réel de leur entretien »

« Tous les voyants sont au vert » pour que l'université de Corse Pasquale-Paoli devienne propriétaire de son patrimoine immobilier, estime Antoine Aiello, son président. Alors que la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche doit annoncer vendredi 5 novembre 2010, la liste des premières universités qui bénéficieront de cette nouvelle compétence, il souligne que le CA de l'université et l'assemblée territoriale de Corse y sont favorables. « Concernant le financement, la proposition faite par l'université porte sur une dotation aux amortissements qui prenne la forme non pas d'une dotation sur critères, mais bel et bien d'une compensation stable appuyée sur la valeur des biens et le coût réel de leur entretien et de leur adaptation », précise-t-il (AEF n°288060). « A charge ensuite pour l'université d'assumer la gestion et le développement de son patrimoine. » Dans un entretien accordé à AEF, il tire également le bilan de près de deux ans d'expérience des RCE, l'université faisant partie de la 1re vague de 2009. Il estime notamment que, pour le moment, il est encore « trop tôt » pour mesurer les marges de manoeuvre qui pourraient être dégagées en matière de ressources humaines et liées à la gestion de la masse salariale. Il revient également sur le PRES Euro-méditerranéen et le grand emprunt.

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Dévolution : « Une ou deux méthodes de calcul du financement récurrent proposées d'ici la fin de l'année » (Brice Lannaud, Dgesip)

« D'ici la fin de l'année, nous pensons proposer une ou deux méthodes de calcul [du financement récurrent dans le cadre de la dévolution du patrimoine] à la CPU. Nous pourrons alors ensuite discuter plus sérieusement de l'échéance à laquelle les établissements pourront obtenir la propriété de leurs biens », déclare Brice Lannaud, sous-directeur de l'allocation des moyens et des affaires immobilières à la Dgesip, à l'occasion d'un séminaire sur la dévolution du patrimoine organisé par la CPU, jeudi 7 octobre 2010. Le sous-directeur rappelle que la Dgesip participe depuis plus d'un an avec sept établissements (sur les 9 candidats à la dévolution (1)) à un travail expérimental sur le transfert du patrimoine immobilier aux établissements. Une mutualisation des bonnes pratiques acquises dans ce groupe d'expérimentateurs est d'ailleurs envisagée avec la participation de l'Esen, de la CPU et de la Dgesip.

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Dévolution du patrimoine : « Le vrai sujet est d'ordre budgétaire et non juridique » (Philippe Adnot, sénateur)

« Est-ce que l'État disposera des moyens supplémentaires nécessaires au transfert du patrimoine immobilier ? C'est la question essentielle. Aujourd'hui, les 500 à 600 millions [d'effort moyen annuel de l'État en faveur de l'immobilier, hors crédits de maintenance] ne permettent pas de couvrir l'ensemble de la dépense. » C'est ce qu'indique Philippe Adnot, sénateur de l'Aube (non inscrit) à l'occasion d'un séminaire organisé par la CPU sur la dévolution du patrimoine immobilier, jeudi 7 octobre 2010. « Comment demander aux collectivités de mettre la main à la poche ? Elles ne pourront pas mettre plus de financements dans le contexte actuel », insiste-t-il. « Le vrai sujet est d'ordre budgétaire et non juridique, et de savoir comment les régions pourront faire évoluer leurs budgets », poursuit Philippe Adnot. « Mais quand il y a un bon projet, malgré les problèmes juridiques, [les régions] continueront à financer », rassure le sénateur.

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Dévolution du patrimoine : Poitiers pourrait figurer parmi les universités retenues court terme (Stéphane Mottet, VP patrimoine)

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