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« L'Unef décidera de la suite du mouvement avec les salariés, dans l'unité. Notre décision est très liée à celle de l'intersyndicale [qui se réunit ce jour]. Si le mouvement s'arrête, on trouvera d'autres formes de mobilisation », déclare à AEF Anabelle Janodet, vice-présidente de l'Unef. Elle s'exprimait à l'occasion du rassemblement parisien organisé par des lycées et étudiants à Jussieu, jeudi 4 novembre 2010 ayant rassemblé 300 personnes selon la préfecture et les estimations d'AEF sur place. « Deux universités ont été débloquées hier. Aujourd'hui, beaucoup d'AG se tiennent. Il y a 3 000 personnes à Toulouse-II Le Mirail, 400 à Lyon-II. L'idée de la mobilisation d‘aujourd'hui, c'est de préparer samedi, journée à laquelle nous pensons qu'il y aura une participation importante des jeunes », ajoute-t-elle. L'Unef précise par ailleurs qu'elle n'était pas organisatrice de la mobilisation d'aujourd'hui. Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dénombre quant à lui aujourd'hui une université fermée (Lyon-II Lumière) et quatre perturbées (Limoges, Le Havre, Nantes et Pierre-Mendès-France Grenoble-II).