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Sous le titre « l'électricité du futur : un défi mondial » (1), la CRE (Commission de régulation de l'énergie), en collaboration avec l'Université Paris-Dauphine, publie lundi 8 novembre 2010 un ouvrage dédié aux smart grids, ou réseaux intelligents. Résultat d'un colloque organisé le 27 janvier dernier, le livre reprend et complète les travaux présentés par les intervenants du colloque. Il a été dirigé par Philippe de Ladoucette, président de la CRE, et Jean-Marie Chevalier, professeur à l'Université Paris-Dauphine et directeur du Centre de géopolitique de l'énergie et des matières premières. Parallèlement à la parution de ce livre, la CRE lance un site Internet sur les smart grids. « Un site collaboratif puisque les entreprises apporteront leur contribution, qui doit être un carrefour d'idées. Ce think tank doit apporter des éléments de réflexions », explique Christine Le Bihan-Graf, directrice générale de la CRE.
Maîtriser la consommation énergétique des réseaux, diffuser des usages innovants des TIC (technologies de l'information et de la communication) en faveur du développement durable, encourager la consommation durable, responsabiliser la chaîne de production avec des critères de RSE et inscrire les entreprises du secteur télécom dans une démarche de progrès continu et d'éco-responsabilité. Tels sont les cinq volets de la « charte d'engagement volontaire du secteur des télécoms pour le développement durable » signée jeudi 22 juillet 2010 par Chantal Jouanno, secrétaire d'État à l'Écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la Prospective et du développement numérique et Frank Esser, président de la FFT (1).
« Le développement durable représente un changement de cap majeur en ce qui concerne notre stratégie d'entreprise vis-à-vis de l'industrie informatique, ainsi que de nos clients », déclare Atos Origin, dans son premier rapport RSE publié fin mai 2010. Cette entreprise spécialisée dans les services informatiques (paiements électroniques, services en ligne pour les clients d'une entreprise ou pour les marchés financiers), réalise un chiffre d'affaires annuel de 5,1 milliards d'euros. Présente dans 24 pays et dirigée par Thierry Breton, ancien ministre des Finances, elle compte 49 000 salariés, dont 45 000 ingénieurs.