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« Le volet financement est le point le plus faible des décisions prises à Nagoya », explique Raphaël Billé, directeur du programme Biodiversité au sein de l'Iddri (Institut du développement durable et des relations internationales), tout en admettant que « de toutes façons, la question du financement est mal posée pour la biodiversité, puisque personne ne sait évaluer ni les besoins ni l'argent déjà dépensé à ce jour ». Il revient, lors d'une conférence de presse mardi 8 novembre 2010, sur les résultats de la conférence des parties à la CDB (convention sur la diversité biologique) qui s'est achevée à Nagoya (Japon), le 29 octobre. La CDB a permis de conclure, parmi une quarantaine de décisions, trois décisions majeures portant sur le protocole APA (accès et partage équitable des avantages tirés des ressources génétiques) (L'AEF n°256728), sur un plan d'action stratégique pour 2020 (L'AEF n°256727) et un mécanisme de financement (L'AEF n°256726). La conférence, dans son ensemble, est un « succès », note-t-il.
« En France, l'ensemble des mesures intégreront la stratégie nationale pour la biodiversité », explique Chantal Jouanno lundi 8 novembre 2010, lors de la présentation des résultats des négociations de la dixième conférence des parties à la convention sur la diversité biologique, qui s'est achevée vendredi 29 octobre 2010 à Nagoya (Japon). Une quarantaine de décisions a été adoptée (L'AEF n°256729), dont les trois principales qui sont le protocole APA sur l'accès et partage des avantages tirés des ressources génétiques (L'AEF n°256728), le plan d'action post-2010 contre l'érosion de la biodiversité et la mobilisation de ressources financières (L'AEF n°256726). La secrétaire d'État à l'Écologie recevait ce jour même quelques associations pour « un debriefing ».
La dixième conférence des 193 parties à la convention sur la diversité biologique, qui s'est achevée dans la nuit de vendredi à samedi 30 octobre 2010 à Nagoya (Japon) a permis d'adopter trois décisions principales, présentées comme « les trois piliers » de la conférence, parmi une quarantaine de décisions (L'AEF n°256729). Ces trois piliers sont le protocole APA (accès et partage des avantages tirés des ressources génétiques), le plan d'action post-2010 contre l'érosion de la biodiversité et la mobilisation de ressources financières. Contrairement aux deux autres piliers, la question des ressources financières ne fait pas l'objet d'une seule décision mais de trois. Une décision concerne les ressources allant à « des projets concrets », « mesurés avec des indicateurs » ; une autre porte sur « les ressources à l'appui des trois objectifs de la convention » et une troisième « le mécanisme de financement ».
« D'ici à 2050, la diversité biologique est valorisée, conservée, restaurée et utilisée avec sagesse, en assurant le maintien des services d'écosystèmes, en maintenant la planète en bonne santé et en procurant des avantages essentiels à tous les peuples ». C'est ce que mentionne le plan stratégique post-2010 pour protéger la biodiversité, adopté par la dixième conférence des 193 parties à la convention sur la diversité biologique, qui s'est achevée dans la nuit de vendredi 29 à samedi 30 octobre 2010 à Nagoya (Japon). Cette conférence a permis d'adopter trois décisions principales, présentées comme « les trois piliers » de la conférence, parmi une quarantaine de décisions (L'AEF n°256729). Ces trois piliers sont le protocole APA (accès et partage des avantages tirés des ressources génétiques), le plan d'action post-2010 contre l'érosion de la biodiversité et la mobilisation de ressources financières.
La dixième conférence des 193 parties à la convention sur la diversité biologique, qui s'est achevée dans la nuit de vendredi 29 à samedi 30 octobre 2010 à Nagoya (Japon) a permis d'adopter trois décisions principales, présentées comme « les trois piliers » de la conférence, parmi une quarantaine de décisions (L'AEF n°256729). Ces trois piliers sont le protocole APA (accès et partage des avantages tirés des ressources génétiques), le plan d'action post-2010 contre l'érosion de la biodiversité et la mobilisation de ressources financières.
La dixième conférence des parties à la convention sur la diversité biologique, qui se tenait à Nagoya (Japon) depuis le 18 octobre s'est achevée, samedi 30 octobre 2010 à 1h30 (18h30 heure française) avec l'adoption, après plusieurs heures de négociations en séance plénière, des trois piliers de la conférence que sont le protocole APA (accès et partage des avantages tirés des ressources génétiques), un mécanisme financier et un plan stratégique d'action pour enrayer la perte de biodiversité d'ici 2020. Ahmed Djoghlaf, le secrétaire exécutif de la convention, a salué « une journée historique », « qui fait entrer Nagoya dans l'histoire, comme Kyoto a pu l'être pour le changement climatique ».