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Nathalie Kosciusko-Morizet est nommée ministre de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement. Elle n'est pas ministre d'État, contrairement à son prédécesseur, Jean-Louis Borloo, ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer, qui quitte le gouvernement. C'est ce qu'annonce, dimanche 14 novembre 2010 à 20h15, le secrétaire général de l'Élysée, qui détaille le nouveau gouvernement, dont François Fillon reste à la tête. Il a été reconduit au poste de Premier ministre, dimanche 14 novembre au matin, après avoir remis sa démission au chef de l'État la veille. L'énergie ne relève pas du portefeuille de Nathalie Kosciusko-Morizet, mais de celui d'Eric Besson, qui devient ministre chargé de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique auprès de Christine Lagarde, ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie.
« Nous appelons à ce que le Meeddm (ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement Durable et de la Mer) garde son périmètre transversal (écologie, énergie, transport, logement et mer), auquel devrait s'ajouter, par souci de cohérence, l'aménagement du territoire. » (1) Le WWF France et l'Alliance pour la planète prennent position, vendredi 12 novembre 2010, alors que le remaniement ministériel pourrait intervenir en début de semaine prochaine. Les deux associations demandent également que le Meeddm, actuellement dirigé par Jean-Louis Borloo, « reste au deuxième rang dans la hiérarchie des ministères et soit confié à un ministre d'État ayant une connaissance des sujets environnementaux ». La Fondation Nicolas Hulot partage cette préoccupation hiérarchique (L'AEF n°255886).
Mercredi 25 janvier 2023, ICPF a annoncé ouvrir son capital à hauteur de 30 % par le biais d’une levée de fonds de 4 millions d’euros réalisée auprès de la société d’investissement CITA. Objectif : permettre à cet organisme de certification qualité, qui est accrédité par le Cofrac pour délivrer Qualiopi - cette activité représentant l’essentiel de son chiffre d’affaires, de lancer en septembre 2023 une nouvelle version de sa plateforme numérique avec pour ambition de proposer aux autres organismes certificateurs "une plateforme intégrée de gestion de leurs propres offres de certification, d’évaluation ou d’inspection", explique à AEF info François Galinou, le président d’ICPF. L'organisme souhaite également "déployer une offre de mise en relation entre les certificateurs et les organismes de formation qui ne savent pas nécessairement se faire habiliter sur Qualiopi."