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« La CFDT s'opposera à l'adoption du prochain contrat quadriennal 2011-2014 de l'Inria », indique à AEF Gérard Paget, membre élu du Sgen-CFDT recherche EPST au conseil d'administration de l'Institut national de recherche en informatique et en automatique. Revenant sur la présentation qui en a été faite lors du dernier conseil d'administration, le 28 octobre dernier, Gérard Paget résume le document en soulignant qu'il contient « 33 pages détaillant les engagements de l'Inria et une page – et encore, plutôt un paragraphe - précisant ceux de l'État ». Ceux-ci sont formulés ainsi, selon l'élu : « Ce soutien se traduira par le maintien d'une dotation annuelle adaptée au niveau des ambitions affichées, mais aussi des avancées réalisées et de la progression des ressources propres de l'établissement. »
Les organismes de recherche (hors ANR) « voient leurs moyens progresser de 86 millions d'euros », indiquent les documents budgétaires présentés mercredi 29 septembre 2010 par François Baroin, ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'État. Le dossier précise que « cette évolution s'explique par des dépenses de personnel en augmentation (+ 78 millions d'euros) notamment du fait des mesures pour le renforcement de l'attractivité des carrières », auxquelles s'ajoutent « des augmentations de moyens ciblées pour quelques organismes de recherche (+ 57 millions d'euros) ». Mais il est aussi prévu « des diminutions de crédits de 49 millions d'euros au titre d'économies de fonctionnement, d'une meilleure gestion des très grandes infrastructures de recherche et de remboursement de l'avance faite dans le cadre du plan de relance ».
La première pierre du centre de recherche de l'Inria Bordeaux Sud-Ouest en sciences et technologies du numérique est posée jeudi 23 septembre 2010, par Michel Cosnard, PDG de l'institut, et Claude Kirchner, délégué général à la recherche et au transfert pour l'innovation et directeur du centre Inria Bordeaux Sud-Ouest (AEF n°261452), en présence de plusieurs personnalités (1). « Ce bâtiment de plus de 7 000 mètres carrés ouvrira ses portes à l'horizon 2011, avec pour objectif de s'étendre à terme sur 15 000 mètres carrés », précise l'institut. Il a vocation à « soutenir la croissance du centre et permettre l'accueil des équipes de chercheurs ainsi que l'ensemble des services support et d'accompagnement de la recherche », soit 300 personnes, actuellement « réparties sur sept sites différents ».
« L'Inria tient sa parole dans la région en créant de l'emploi et de l'activité », indique à AEF Max Dauchet, directeur du centre Inria Lille-Nord Europe. « Nous tenons le cap de la logique de développement annoncée lors de la création du centre en 2008, ce qui va notamment se traduire par la construction d'un deuxième bâtiment de 4 000 mètres carrés sur le parc scientifique de la Haute Borne », ajoute-t-il. Le premier coup de pioche sera donné en avril 2010. Le centre lillois concentre aujourd'hui près de 250 emplois, financés pour moitié sur crédits publics, dans des équipes-projets communes avec les universités de Lille-I et Lille-III, ainsi que Centrale Lille. L'objectif affiché par son directeur est de doubler l'effectif d'ici 2013 et d'élargir le cercle des partenaires.
Retrouvez en bref quelques informations récentes intéressant la protection sociale :