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Réhabiliter 400 logements et restaurer quinze îlots d'habitat insalubre du quartier du Bouchon de Champagne, dans le centre historique de Troyes (Aube). C'est le principal objectif du PNRQAD (Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés) (1) dont le protocole d'accord a été signé, vendredi 5 novembre 2010, par Benoist Apparu, secrétaire d'État au Logement, et la ville de Troyes, représentée par son maire, François Baroin, également ministre du Budget. « Le programme représente entre 10 et 12 millions d'euros d'aides publiques pour un budget total de 25 à 30 millions de travaux », indique à AEF Habitat et Urbanisme, Bertrand Chevalier, adjoint (UMP) au maire de Troyes en charge de l'urbanisme et du renouvellement urbain. Portant sur les cinq à sept années à venir, il doit être lancé au printemps 2011 après l'écriture de la convention PNRQAD.
52 millions d'euros : c'est le montant global de la première convention de mise en œuvre du PNRQAD (Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés) (1) signée jeudi 14 octobre 2010 par Benoist Apparu, secrétaire d'État au Logement et à l'Urbanisme et le maire de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), Didier Paillard aux côtés de sept autres partenaires (2) (AEF Habitat et Urbanisme n°2602). Programmée de 2011 à 2016, l'opération porte d'une part, sur « la requalification complète des quartiers, Porte de Paris et Brise Echalas, avec des réhabilitations lourdes et des constructions neuves », et d'autre part, sur « l'accompagnement sur l'ensemble du centre-ville des propriétaires privés dans la réhabilitation de leurs biens », indique la Ville. Au total, « 320 logements neufs seront construits, dont 110 en programme social, et 1 200 logements du parc privé seront réhabilités » dans un périmètre qui recouvre « l'essentiel du centre-ville historique et du quartier Gare-Confluence ».
« Nous espérons la venue du secrétaire d'État au Logement et à l'Urbanisme pour la signature de la convention PNRQAD (Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés) concernant le centre-ville de Saint-Denis dans le courant du mois d'octobre. » C'est ce qu'indique à AEF Habitat et Urbanisme, mardi 21 septembre 2010, Stéphane Peu, maire adjoint (ex-PCF) de la ville en charge de l'urbanisme et de l'habitat et vice-président de la communauté d'agglomération de Plaine Commune. « Le projet prévoit la démolition de 133 logements insalubres, la construction de 320 logements neufs et la réhabilitation de 1 200 autres ainsi que la réalisation de 1 500 mètres carrés de surface commerciale pour un coût total d'environ 50 millions d'euros », détaille l'élu. Le dossier de Saint-Denis a été le premier à être présenté devant le comité national d'engagement de l'Anru (Agence nationale de rénovation urbaine), jeudi dernier. Au total, le PNRQAD prévoit une enveloppe de 380 millions d'euros de subventions de l'État, de l'Anah et de l'Anru pour la requalification de 40 quartiers en trois ans (1) (AEF Habitat et Urbanisme n°280019).
19,1 millions d'euros de subventions sur trois ans pour la réhabilitation ou la construction de 900 logements et la création d'espaces publics et de commerces de proximité dans le centre historique de Bordeaux. Tel est l'objet du protocole PNRQAD (Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés) signé, jeudi 17 juin 2010, à Bordeaux, par Benoist Apparu, secrétaire d'État au Logement et à l'Urbanisme, Alain Juppé, maire (UMP) de Bordeaux, Dominique Braye, président de l'Anah (Agence nationale de l'habitat), et Gérard Hamel, président de l'Anru (Agence nationale de rénovation urbaine). La signature de cet accord se fait dans le cadre de la journée nationale d'échanges du PNLHI (Pôle national de lutte contre l'habitat indigne). Au total, le PNRQAD prévoit une enveloppe de 380 millions d'euros de subventions de l'État, de l'Anah et de l'Anru pour la requalification de 40 quartiers en trois ans (1) (AEF Habitat et Urbanisme n°280019).
« Seule une réflexion sur le quartier permet de requalifier l'habitat à long terme. » Marie-Christine Gangeux, architecte DPLG, architecte conseil du Puca (Plan urbanisme construction architecture) et enseignante à l'ENSAPB (École nationale supérieure d'architecture de Paris-Belleville), s'exprime lors du colloque « Requalifier l'habitat collectif à l'heure du Grenelle de l'environnement » (1), organisé mardi 15 juin 2010 par le Puca en partenariat avec l'USH (Union sociale pour l'habitat) pour présenter les lauréats du programme Reha (Requalification à haute performance énergétique de l'habitat collectif) (2). Pour Marie-Christine Gangeux, « la question, c'est comment on repense l'habitat ». « Si on réhabilite un bâtiment sans renouer avec le quartier dans son contexte, poursuit-elle, on va s'apercevoir que par exemple, s'il n'y a pas de transports en commun et qu'il faut utiliser la voiture, les investissements qu'on aura fait, on les perdra ailleurs. On vise globalement un quartier équilibré, mais chaque bâtiment ne sera sûrement pas à énergie positive. »
« L'objectif est de présenter le calendrier, le processus de mise en oeuvre du PNRQAD (Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés) et le rôle clef du préfet qui aura la triple casquette de l'État, de l'Anah (Agence nationale de l'habitat) et de l'Anru (Agence nationale de rénovation urbaine) », indique à AEF Habitat et Urbanisme le cabinet de Benoist Apparu, mardi 2 février 2010, à l'issue d'une journée de présentation du programme. Celle-ci a réunit, à Paris, les maires ou élus des communes et intercommunalités concernées par le PNRQAD, leurs DGS (directeurs généraux des services) ainsi que des représentants des directions départementales de l'aménagement et de l'habitat. Le secrétaire d'État au Logement et à l'Urbanisme a présenté, le 9 décembre 2009, les 40 quartiers de centre-ville retenus dans le cadre du PNRQAD qui se partageront une enveloppe de 380 millions d'euros sur trois ans, abondée par l'État, l'Anah et l'Anru (AEF Habitat et Urbanisme n°280019).
« Nous voulons lutter contre l'habitat insalubre, les logements vacants et la déshérence commerciale dans les centre villes dégradés », déclare Benoist Apparu, le secrétaire d'État au Logement et à l'Urbanisme, mercredi 9 décembre 2009, à Paris. Il présente les 40 quartiers de centre-ville retenus dans le cadre du PNRQAD (Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés) qui bénéficieront d'une enveloppe de 380 millions d'euros sur trois ans. Ce programme, qui a fait l'objet d'une communication en Conseil des ministres ce mercredi, « se traduira par trois types d'actions : réhabilitation de logements privés, construction de logements sociaux et aménagement de l'espace et de services publics », explique Benoist Apparu. Les périmètres définitifs des 40 quartiers retenus seront fixés par décret « avant la fin de l'année » pour que les conventions entre l'État et les communes soient signées « dès le premier semestre 2010 ». Les travaux pourraient débuter en 2010.