Politique de cookies
Le groupe AEF info utilise des cookies pour vous offrir une expérience utilisateur de qualité, mesurer l’audience, optimiser les fonctionnalités et vous proposer des contenus personnalisés. Avant de continuer votre navigation sur ce site, vous pouvez également choisir de modifier vos réglages en matière de cookies.
Politique de protection des données personnelles
Claude Évin, directeur général de l'ARS d'Île-de-France, a signé lundi 15 novembre 2010 l'arrêté qui créé au sein de la région huit territoires de santé calqués sur les huit départements de la région : Paris, Seine-et-Marne, Yvelines, Essonne, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne, et Val d'Oise. Une conférence de territoire sera installée au mois de janvier prochain dans dans chacun de ses territoires. L'ARS souligne que cette décision est l'aboutissement de « l'examen approfondi de plusieurs scénarii » et du recueil des avis de la CRSA, des conseils généraux, du Préfet de région et des contributions notamment du conseil régional ou de l'AP-HP. La CRSA, appelée à se prononcer sur les quatre scénarii possibles du directeur général de l'agence, a décidé de n'en privilégier aucun. Elle demande cependant à l'agence d'indiquer « dès 2011 et à moyen terme » aux offreurs de soins « les conséquences du choix des territoires en termes d'objectifs quantifiés de l'offre de soin puisque, pour eux, les territoires ont immédiatement une conséquence opposable ».
Que diriez-vous de découvrir nos services d’information en temps réel ainsi que les dossiers thématiques et les newsletters de nos rédactions ?
Nous vous invitons à formuler une demande de test pour accéder à AEF info.
Cécile Courrèges, directrice générale de l'ARS Bourgogne, a signé lundi 11 octobre 2010 l'arrêté relatif à la définition des territoires de santé de Bourgogne. Le texte définit quatre territoires de concertation, dont les limites géographiques correspondent aux quatre départements de la région (Côte-d'Or, Nièvre, Saône-et-Loire et Yonne), alors que le schéma régional d'organisation sanitaire avait retenu six territoires infradépartementaux. « Les territoires de santé, tels que définis par la loi hôpital, patients, santé et territoires, concernent non seulement le secteur hospitalier, mais aussi ceux du médico-social, de la prévention, des soins de premier recours et de la veille et sécurité sanitaires, justifie Cécile Courrèges. Ils sont donc, à ce titre, à distinguer des précédents territoires définis dans le cadre des Sros, orientés vers la seule organisation des prises en charge hospitalières. »
Pour la FNI, l'une des quatre organisations d'infirmiers libéraux, à avoir signé en avril 2009 avec l'assurance maladie un avenant conventionnel visant à rééquilibrer l'offre en soins infirmiers entre territoires de santé sur et sous dotés, « la présentation résolument positive que fait l'assurance maladie de ce bilan d'étape ne doit pas laisser penser qu'en ce qui [la] concerne, la pérennité de ce modèle serait acquise ». Philippe Tisserand, président de la FNI, exprime en effet vendredi 22 octobre 2010 sa « perplexité » vis-à-vis de la pratique hétérogène des Cpam pour la déclinaison des termes de l'accord conclu (AEF n°257473). Le directeur de la Cpam du Vaucluse est cité par la FNI car il « refuse arbitrairement des conventionnements contre l'avis de la commission paritaire départementale, alors même que toutes les conditions sont réunies pour autoriser le conventionnement ».
Martine Aoustin, directeur général de l'ARS (agence régionale de santé) du Languedoc Roussillon, a arrêté mardi 12 octobre 2010 le découpage des territoires de santé pour le Languedoc-Roussillon. Chacun des cinq départements (Aude, Gard, Hérault, Lozère, Pyrénées-Orientales) constitue désormais un territoire de santé, nouveau périmètre destiné à prendre en compte les innovations introduites par la loi HPST. La volonté de Martine Aoustin est de « porter l'action au plus près des besoins de santé des concitoyens du Languedoc-Roussillon, sur la base de projets concrets et mesurables ».
Christophe Jacquinet, directeur de l'ARS de Picardie a signé, mardi 21 septembre 2010, l'arrêté délimitant les cinq nouveaux territoires de santé de la région. Cette décision a été prise après un vote largement favorable de la conférence régionale de la santé et de l'autonomie : réunie le 8 septembre, la CRSA s'est exprimée par 55 voix « pour », 5 « contre » et 3 abstentions sur le projet présenté par l'ARS. Le préfet de région et les présidents des trois conseils généraux de l'Aisne, de l'Oise et de la Somme ont approuvé ce projet de découpage au cours de l'été.
L'ARS Rhône-Alpes annonce, vendredi 17 septembre 2010, que la CRSA, réunie en assemblée plénière le 14 septembre, a émis un avis positif à une large majorité (59 voix pour, 9 contre, et 10 abstentions) sur sa proposition de définition de 5 territoires de santé. L'ARS souligne que cette décision fait suite à deux mois d' « intense concertations ». Dans son avis, la CRSA « approuve, tout en formulant des réserves, l'approche territoriale à trois niveaux proposée par l'ARS », soit 280 à 300 micro-territoires, 47 zones de proximité et 5 territoires de santé. Ces cinq territoires sont : Grand Lyon, Alpes du Nord, Sud Rhône-Alpes, Ouest Rhône-Alpes, Nord Rhône-Alpes. Cependant, la CRSA regrette de devoir « se prononcer sur un principe de découpage territorial sans en connaître les contours définitifs ». Elle met en cause « le rythme très soutenu imposé aux ARS par le Ministère » qui ne paraît pas compatible avec une mise en oeuvre réelle » de la démocratie sanitaire.
Trois projets de l’université Bretagne-Sud sont retenus dans le cadre de l’appel à projets du plan de relance dédié à la rénovation énergétique des bâtiments publics de l’ESR. Il s’agit de la réhabilitation énergétique du bâtiment Yves Coppens, sur le campus Tohannic à Vannes, pour un montant de 3,75 M€, et de la migration de l’éclairage en led des bâtiments Sciences 2 et Kerjulaude, à Lorient, pour un montant de 110 000 €. Les travaux d’éclairage ont démarré et s’achèveront en mai, les autres travaux devraient être réalisés avant la fin de l’année. La réhabilitation du bâtiment Yves Coppens permettra de réduire de 45 % les consommations d’énergie actuelles, avec une économie annuelle de 675 MWh/an. Les émissions de gaz à effet de serre seront également réduites de 25 %, représentant une économie annuelle de 60 tonnes de CO2.
Gérer le budget familial et constituer une épargne : les élèves de 4e et de 3e vont bénéficier dès cette année, si le collège dans lequel ils sont scolarisés le souhaite, d’une formation assurée gratuitement par la Jeune chambre économique du Grand Besançon. Cette formation, composée de plusieurs modules dispensés lors de séances de 3 heures, s’appuie sur un livret pédagogique qui permet aux élèves de s’exercer. Les collégiens obtiendront un "brevet de sécurité financière" à l’issue d’une évaluation en fin de formation réalisée sous forme de QCM. Un des enjeux de l’opération : la lutte contre le surendettement.