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Salaires des diplômés du supérieur : peu « d'effet propre » de l'établissement (étude publiée par le Cereq)

« L'effet propre [de l'établissement sur le salaire des diplômés du supérieur] est en général faible : la plus grande partie de la variance des salaires, quelle que soit la formation [en universités, en IUT, ou en écoles d'ingénieurs] est expliquée par des caractéristiques individuelles des diplômés et par la conjoncture sur le marché régional du travail où la majorité d'entre eux s'insère », indique une étude datée d'octobre 2010, intitulée « Mesure des effets établissement sur le salaire des diplômés du supérieur », et publiée en novembre par le Céreq (1).

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La qualité des stages effectués par les étudiants dépend fortement du niveau et de la spécialité de formation suivie, indiquent Jean-François Giret et Sabina Issehnane, en conclusion d'une étude sur la valeur professionnelle des stages suivis par les étudiants au cours de leur formation. La note, publiée récemment sur le site du Céreq, est une exploitation de l'enquête Génération 2004 (AEF n°288907). Celle-ci décrit les trajectoires d'emploi des jeunes diplômés en 2004 de l'enseignement supérieur, trois ans après la fin de leurs études (1). Toutes choses égales par ailleurs (2), les diplômes les plus élevés offrent le plus l'accès à des stages de la catégorie 1 (3), à la fois rémunérateurs et formateurs. Par exemple, 27 % des titulaires d'un M2 en sciences, 17 % des jeunes ingénieurs et 9 % des jeunes commerciaux n'ont obtenu aucune gratification pour leur stage principal, contre 72 % des titulaires d'une licence généraliste.

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