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« Le délibéré est prévu pour le 18 janvier prochain », indique vendredi 26 novembre à AEF André Lefebvre, militant Europe-Ecologie et membre du comité de soutien à Gilles-Eric Séralini. Ce dernier, chercheur à l'université de Caen et président du conseil scientifique du Criigen (Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique) a attaqué pour diffamation son confrère Marc Fellous, chercheur à l'université Denis Diderot (Paris) et à l'Inserm, et président du conseil d'administration de l'AFBV (Association française des biotechnologies végétales).
« Des mesures concrètes, comme le stockage dans certaines conditions et le respect d'une distance minimale entre cultures, peuvent limiter, voire empêcher toute contamination entre maïs génétiquement modifié et maïs traditionnel et biologique. » C'est ce qui ressort d'un document intitulé « Bonnes pratiques » en matière d'OGM et présenté par l'Ecob (Bureau européen de coexistence) et la Commission européenne, lundi 27 septembre 2010. Il passe en revue différentes méthodes afin d'éviter la contamination entre maïs génétiquement modifié et maïs traditionnel et biologique, depuis la culture jusqu'à la mise sur le marché.
La Commission européenne a adopté, mercredi 28 juillet 2010, six décisions autorisant la commercialisation des maïs 1507x59122, 59122x1507xNK603, MON88017xMON810, MON89034xNK603, Bt11xGA21 et le renouvellement de l'autorisation du Bt11, destinés à l'alimentation humaine et animale. Ces six décisions autorisent l'importation et la commercialisation mais pas la culture des maïs sur le territoire européen.