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L'ESTBB (École supérieure de biologie-biochimie-biotechnologies) de la faculté de sciences de l'université catholique de Lyon a ouvert un diplôme de « management de centres de ressources biologiques » (DU niveau master) à la rentrée 2010. « Cette formation est très bien accueillie par les professionnels : ils nous disent qu'elle manquait car il n'y a pas d'équivalent en France », affirme Isabelle Hardy, directrice de l'ESTBB. Il s'agit selon elle « d'un métier émergent » dû au « boom des biobanques », ces collections de ressources biologiques, qu'elles soient d'origine végétales, animales ou humaines. « Nous nous sommes positionnés à la fois à partir de cette demande et de notre expertise », explique Isabelle Hardy. Au-delà des compétences scientifiques, l'aspect transversal du métier nécessite des notions de droit, de management qualité, de gestion et de bioéthique. « Une maquette qui serait moins évidente à mettre en place dans une grande université scientifique par exemple. »
L'UCLy (université catholique de Lyon) lance sa campagne de mécénat d'entreprises 2010-2013, dont l'objectif est de réunir 10 millions d'euros, annonce le recteur Michel Quesnel, le 28 janvier 2010 à Lyon. La moitié de cette somme serait réservée au projet immobilier d'implantation de l'UCLy dans le nouveau quartier lyonnais Confluence (AEF n°290295). L'UCLy prévoit en effet de quitter son site historique de Bellecour et est candidate à la reprise d'une partie de l'ancienne prison de Perrache, « dont le cahier des charges devrait être délivré par la préfecture début février 2010 », indique le recteur. « Le symbole serait très fort, de transformer un lieu de frontières, d'incarcération, en un lieu de recherche et de mixité », apprécie Michel Quesnel. Si son projet n'est pas retenu, l'UCLy se tournerait vers l'ancien site du MIN (marché d'intérêt national).