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Le PRES Université de Lyon vise une dotation en capital de 1,22 milliard d'euros pour l'appel à projets idex, doté d'une enveloppe de 7,7 milliards d'euros (AEF n°259591) : son conseil d'administration a approuvé, lundi 3 janvier 2011, le dossier de candidature, intitulé « Construire la métropole de l'innovation Lyon - Saint-Etienne ». Selon le PRES, ce capital doit générer 41,6 millions d'euros par an (avec un taux d'intérêt à 3,41 %). La gestion des crédits sera confiée à sa future fondation, issue de la transformation de la fondation scientifique de Lyon et du Sud-Est et de la fondation Rhône-Alpes Futur (AEF n°290037). Cette dotation visée par l'Université de Lyon représente la moitié des 2,5 milliards d'euros demandés par le PRES dans ses réponses aux appels d'offres du grand emprunt, selon le chiffre avancé par son président, Michel Lussault, le 8 septembre 2010 (AEF n°260958).
La date limite de réponse à l'appel à projets sur les « idex » (initiatives d'excellence) du programme d'investissements d'avenir est repoussée au 7 janvier 2011 à 13h, signale le site de l'ANR (Agence nationale de la recherche), mercredi 15 décembre 2010.
« Nous demanderons un droit à l'expérimentation », affirme Michel Lussault, président du PRES Université de Lyon, dans un entretien à AEF le 17 novembre 2010. Afin de parvenir à constituer « une fédération plus forte », « il nous faudra un statut expérimental, que nous demanderons à l'État », ajoute-t-il alors qu'il évoquait, à l'occasion de la rentrée solennelle du PRES, le 10 novembre 2010, la possibilité que l'Université de Lyon « disparaisse, victime consentante de son propre succès ». « Nous devons nous poser la question de l'étape suivante, quand le PRES n'aura peut-être plus de raison d'être. »
L'appel à projets des « idex » (initiatives d'excellence) du programme d'investissements d'avenir est mis en ligne sur le site de l'ANR lundi 27 septembre 2010, après la parution de la convention passée entre l'État et l'ANR au « Journal officiel » du 26 septembre 2010 (AEF n°259692). Cette action vise « à faire émerger sur le territoire français cinq à dix pôles pluridisciplinaires d'excellence d'enseignement supérieur et de recherche de rang mondial ». Les projets sélectionnés percevront pendant une « période probatoire de quatre ans » les revenus d'une « dotation non consommable spécifique ». Ensuite, « si les conditions (…) sont remplies, la dotation de référence sera dévolue définitivement à l'initiative d'excellence ». Au total, une enveloppe de 7,7 milliards d'euros est prévue. La prochaine étape consiste pour les candidats à rendre leurs « pré-projets » avant le 17 décembre 2010 à 13 heures. Les premières initiatives d'excellence seront sélectionnées avant l'été 2011. Une seconde vague sera lancée début 2011.
Martine Chanas devient la nouvelle déléguée générale du PRES Université de Lyon (UdL) et remplace Jean-Michel Jolion, désormais « chargé des grands projets », indique un communiqué de l'EPCS, mardi 14 septembre 2010, confirmant les informations d'AEF (n°260958).
L'Université de Lyon « vise une enveloppe d'au moins 2,5 milliards d'euros » par sa réponse aux appels d'offres du grand emprunt, déclare Michel Lussault, président du PRES, lors d'une conférence de presse, à Lyon, le 8 septembre 2010. « Notre site étant le second en France, il n'est pas illogique que nous soyons ambitieux », explique-t-il. Cette enveloppe « conséquente » du grand emprunt représenterait pour le site « une bifurcation plus importante encore que le plan campus et ses 575 millions d'euros », indique le président du PRES (AEF n°307424). Par ailleurs, l'apport du grand emprunt « n'empêche pas des financements complémentaires », avec notamment la création d'une fondation universitaire abritante (AEF n°290037).
Les établissements du PRES Université de Lyon élaborent « une réponse collective et cohérente au grand emprunt », assure Michel Lussault, président de l'EPCS, dans un entretien à AEF. Selon lui, le but est « de se servir du grand emprunt pour amplifier ce que nous avons réussi à faire pour l' 'opération campus' », autrement dit renforcer la coopération autour de projets stratégiques, « à la fois entre les établissements mais aussi avec les partenaires (acteurs socio-économiques, pôles de compétitivité, organismes de recherche, collectivités locales) ». Le PRES Université de Lyon est, d'après son président, « un des rares dispositifs français complets en matière d'enseignement supérieur, de recherche et de valorisation ». « Nous voulons en faire un site de réputation mondiale d'ici 10-15 ans », assure Michel Lussault.
Pour permettre aux collectivités et aux consommateurs de faire face à la crise du prix de l’énergie, la FNCCR a formulé, lundi 27 juin 2022, cinq propositions à l’attention du gouvernement. Elle réclame notamment de revoir la méthode de calcul des tarifs réglementés de vente d’électricité et de permettre aux collectivités d’y recourir à nouveau, quelle que soit leur taille. Elle recommande aussi d’enclencher la 3e phase du programme Actee et de réformer les règles de la commande publique pour faciliter l’accès aux énergies renouvelables dans le cadre de contrats d’achat direct à long terme.