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Les « moyens de force intermédiaire sont aujourd'hui la seule alternative à l'usage des armes à feu, en situation de légitime défense » et leur suppression aurait « pour conséquence l'utilisation des armes à feu », affirme Brice Hortefeux lors d'une séance de questions cribles au Sénat sur l'utilisation du flashball et du Taser par les forces de police, mardi 25 janvier 2011. Il précise que « l'usage des armes à feu dans nos démocraties doit rester extrêmement rare et ne doit intervenir que dans les circonstances les plus graves ». En réponse à une question de François Fortassin (RDSE, Hautes-Pyrénées), le ministre de l'Intérieur indique qu'en 2010 « 3 400 flashballs équipaient la police et la gendarmerie ; ils ont été utilisés 1 481 fois, contre 1 600 fois en 2009 ; les 3 006 lanceurs de balles de défense n'ont quant à eux fait l'objet que de 491 utilisations ; quant aux 4 051 taser, ils ont été utilisés à 815 reprises, contre 907 en 2009 ». Ces armes ont été utilisées « à 12 000 reprises depuis 2006, donnant lieu à 22 incidents, soit un taux de 0,2 % ».
Le Conseil d'État juge illégal un arrêté ministériel du 4 août 2009 classant en 4e catégorie trois modèles de pistolets électriques de marque Taser, « en tant qu'il n'a pas procédé au même classement s'agissant d'armes similaires », vendredi 3 décembre 2010. Cet arrêté, est « insuffisamment protecteur », selon le Conseil d'État, qui confirme « le bien-fondé du classement en 4e catégorie des trois pistolets Taser », mais observe qu'il existe « sur le marché des armes présentant des caractéristiques équivalentes à ces trois produits ». Sa décision « ne remet pas en cause les effets actuels de cet arrêté, lequel interdit la vente libre des armes concernées. Elle oblige seulement l'administration à procéder au classement en 4e catégorie d'autres armes présentant des caractéristiques équivalentes », précise-t-il.
Une circulaire du ministère de l'Intérieur, publiée au bulletin officiel des armées du 23 juillet 2010 modifie une circulaire du 25 janvier 2006 relative à l'emploi du PIE (pistolet à impulsions électriques) au sein de la gendarmerie nationale. La nouvelle circulaire, datée du 5 juillet 2010, précise qu'il est « strictement interdit de viser la tête et le cou » et que « lorsque les conditions d'usage le permettent (ajustement possible de la cible à titre d'exemple) et hors cas d'urgence, l'utilisateur doit éviter autant que possible de viser la zone du coeur ».
Christian Estrosi remettra des « Tasers » aux quarante agents de la ville de Nice formés pour les utiliser cet après-midi, indique la mairie de Nice, jeudi 27 mai 2010. Cette annonce intervient après la publication du décret au Journal officiel autorisant les policiers municipaux à utiliser les pistolets à impulsion électrique (AEF Sécurité globale n°268090). Le maire de Nice, également ministre chargé de l'Industrie,« veut une protection maximale pour ses policiers municipaux, très présents sur la voie publique ». Il rappelle avoir été « le premier maire de France à équiper ses agents de Tasers ». En juillet 2009, le Conseil d'État avait annulé le décret autorisant l'emploi par les agents de police municipale de pistolets à impulsion électrique (« Taser ») sans cependant remettre en cause le principe même de l'emploi de cette arme.
Après l’ouverture en décembre dernier d’un compte Instagram dédié aux étudiants, d’une page Facebook pour les parents et d’un compte Pinterest pour le monde de l’éducation, l'opérateur de compétences Atlas a annoncé le 30 juin 2022 le lancement d’un compte TikTok pour les plus jeunes et les "adultes les plus connectés" : @orientationAtlas.