En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le contrat d'objectifs entre l'État et l'Inserm « s'inscrit dans la continuité du plan stratégique adopté fin 2009 » par l'institut, dont il constitue la « déclinaison opérationnelle », indique le préambule du document, dont une version encore à l'état de projet est mise en ligne par le SNTRS-CGT mardi 25 janvier 2011, « pour une meilleure information des personnels », justifie-t-il auprès d'AEF. Le conseil scientifique de l'Inserm, consulté sur ce texte le même jour, le « rejette » dans un « avis » qui considère que le contrat « n'est pas assorti d'engagements de l'État en matière de moyens », et que « plusieurs indicateurs de performance proposés (…) ne sont pas appropriés à un organisme de recherche » (AEF n°249831). Le projet doit encore être présenté au CTPC de l'organisme le 31 janvier avant d'être voté par le conseil d'administration le 24 mars 2011.
Le conseil scientifique de l'Inserm « rejette le projet de contrat d'objectifs qui lui a été soumis pour avis lors de sa réunion du 25 janvier 2011 » par 22 voix contre, une voix pour et deux absentions, selon des informations recueillies par AEF. Les raisons invoquées dans l'avis tiennent d'abord au fait que « ce contrat n'est pas assorti d'engagements de l'État en matière de moyens, notamment en matière d'emploi scientifique, ce qui ne permet pas d'apprécier la faisabilité des objectifs proposés ». Par ailleurs, « plusieurs indicateurs de performance proposés (par exemple en matière bibliométrique ou de personnel) ne sont pas appropriés à un organisme de recherche ». L'avis du conseil scientifique est consultatif. Le projet de contrat d'objectif doit encore être présenté au CTPC de l'organisme le 31 janvier avant d'être voté par le conseil d'administration le 24 mars 2011.
« L'évolution récente du système français de recherche et d'enseignement supérieur conduit le CNRS et la CPU à convenir de nouvelles modalités de collaboration entre le CNRS et les universités », déclare le préambule de l'accord-cadre que le CNRS et la CPU signent jeudi 4 novembre 2010, pour une durée de quatre ans, et qu'AEF s'est procuré. Un attendu similaire introduit l'accord-cadre entre l'Inserm et la CPU, qu'AEF s'est également procuré. La signature des deux accords-cadres se déroule dans la matinée au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, en présence d'Olivier Pagezy, directeur de cabinet de Valérie Pécresse (AEF n°256485).
L'Inserm diffuse depuis lundi 6 septembre 2010 le numéro zéro d'un nouveau magazine, « Science & santé », dont il prépare le lancement pour novembre 2010. « Conçu par les équipes de communication de l'Inserm, bimestriel dans un premier temps, ce journal se veut d'abord une source d'information riche et diversifiée sur les avancées les plus récentes, mais aussi sur les femmes et les hommes qui contribuent aux recherches biomédicales », écrit Arnaud Benedetti, directeur de l'information scientifique et de la communication de l'institut, dans un courrier accompagnant l'envoi de ce numéro test.
L'alliance de recherche Aviesan complète le plan stratégique pour les sciences de la vie et de la santé (AEF n°287850) par la publication d'une première série d' « orientations stratégiques » de ses ITMO (instituts thématiques multi-organismes), vendredi 11 juin 2010. Typiquement, ces documents procèdent à un état des lieux de la recherche en France dans chaque domaine couvert par les instituts, identifient les enjeux scientifiques actuels et à venir, définissent les grandes orientations qu'ils comptent adopter pour aborder ces enjeux et émettent des propositions en termes de stratégie, d'objectifs et d'actions, à court et moyen termes.
Mercredi 25 janvier 2023, ICPF a annoncé ouvrir son capital à hauteur de 30 % par le biais d’une levée de fonds de 4 millions d’euros réalisée auprès de la société d’investissement CITA. Objectif : permettre à cet organisme de certification qualité, qui est accrédité par le Cofrac pour délivrer Qualiopi - cette activité représentant l’essentiel de son chiffre d’affaires, de lancer en septembre 2023 une nouvelle version de sa plateforme numérique avec pour ambition de proposer aux autres organismes certificateurs "une plateforme intégrée de gestion de leurs propres offres de certification, d’évaluation ou d’inspection", explique à AEF info François Galinou, le président d’ICPF. L'organisme souhaite également "déployer une offre de mise en relation entre les certificateurs et les organismes de formation qui ne savent pas nécessairement se faire habiliter sur Qualiopi."