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« Le bilan [de l'installation de l'Insead à Singapour] est très positif. Nous avons dépassé nos capacités d'accueil et nous travaillons sur une extension du campus, qui devrait être effective pour la rentrée 2013. (…) D'ici 2018-2020, nous devrions être à 600 étudiants dans le MBA à Singapour. Nous pensons que c'est une limite maximale, si nous voulons garder la qualité des profils des étudiants », explique Ilian Mihov, doyen de la recherche à l'Insead et porte-parole du campus de Singapour, dans une interview à AEF. Il revient sur les raisons du succès de ce campus asiatique, et sur la stratégie du gouvernement singapourien qui cherche à attirer de prestigieuses institutions académiques étrangères. « Depuis deux ans maintenant, il essaye de réinventer le modèle de développement du pays. Singapour ne peut plus être compétitif face à la Chine ou la Malaisie sur le secteur manufacturier, par exemple. Pour continuer à se développer, il doit investir des secteurs compliqués à répliquer, qui sont en général ceux de l'intelligence. Singapour a choisi la santé et l'éducation », dit-il.
L'école internationale de droit Sorbonne-Assas, portée par le PRES Sorbonne Universités à partir d'un projet de l'université Paris-II Panthéon-Assas (AEF n°252583 ), annonce son implantation à Singapour pour septembre 2011, avec le lancement de trois programmes de formation, mardi 25 janvier 2011 à Singapour. Ces programmes seront, dans un premier temps au moins, hébergés par le campus singapourien de l'Insead, membre associé du PRES. « Nous sommes actuellement en discussion avec eux pour définir les termes de cette installation », indique à AEF Stéphane Braconnier, professeur de droit public à Paris-II et chargé du projet « International law school ». L'Insead prépare en effet une importante extension de son campus asiatique pour 2013.
HEC occupe pour la cinquième année consécutive la première place du palmarès des meilleures business schools européennes, publié lundi 6 décembre 2010 par le « Financial Times ». C'est le dernier classement de l'année 2010 de la part du quotidien britannique, construit à partir de ses quatre autres palmarès annuels : « MBA », « executive MBA », « formation continue » (AEF n°269205) et « masters en management » (AEF n°260236). Trois autres écoles françaises entrent dans le top 10 de cette année : l'Insead (3e), l'ESCP Europe (7e), et l'EM Lyon (10e). La méthodologie de ce « classement des classements » avantage les institutions présentes sur un maximum de segments de formation, comme c'est le cas d'HEC (qui propose un master, un MBA, un executive MBA et des programmes de formation continue), mais pas encore celui de la London business school, qui est absente du segment des masters. Première des palmarès « MBA » et « EMBA », la LBS n'arrive donc que seconde du palmarès général.
L'Insead a annoncé en juillet 2010 avoir reçu un don de cinq millions d'euros de la part d'un ancien élève, « destiné à alimenter directement la croissance continue du Centre international Rudolf et Valeria Maag pour l'entrepreneuriat ». Ce dernier a été créé en 2003 pour « catalyser la création d'entreprises dans un monde mondialisé » et « placer l'Insead en position de leader pour la recherche, l'enseignement et le développement de réseaux dans le domaine de l'entrepreneuriat ». Il soutient ainsi les activités entrepreneuriales des enseignants, des étudiants et des anciens de l'école. L'Insead précise que « ce don contribuera à la mission et à la vision du Centre Maag à travers des enseignements novateurs en entrepreneuriat et une offre d'opportunités de recherche ciblées dans le domaine de la création d'entreprises ».
L'endowment (dotations capitalisées) de l'Insead est estimé à 100 M€ (millions d'euros) pour 2008-2009, contre 105 M€ l'année précédente, affirme Eric Ponsonnet, doyen de l'administration de cette école de management basée à Fontainebleau. « Les chiffres ne sont pas tout à fait définitifs, car nous venons juste de clôturer l'exercice », nuance-t-il.
Lors de sa dernière assemblée générale, le 22 juin, l’Ires a choisi deconfier sa présidence à Fabrice Coquelin, membre de son bureau depuis2014 où il a durant un an exercé la fonction de secrétaire puis celle de trésorier depuis 2015. Lui-même comme les autres membres dubureau ont été élus pour un mandat de deux ans.