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« La NSF ne peut plus se permettre d'avoir des accords bilatéraux avec une centaine de pays. Cela étrangle notre système. Comment développer des alliances régionales, étant donné les disparités politiques, les disparités de financement et de développement ? Comment pouvons-nous nous engager internationalement sans étrangler notre système, tout en ayant suffisamment de collaborations ? » C'est l'un des défis soulevés par Subra Suresh, directeur de la National Science Foundation américaine, lors d'une allocution le 13 janvier 2011 devant les conseillers scientifiques de 21 pays différents réunis à l'ambassade de France. « Le directeur est cependant loin d'être hostile à l'idée d'un fond global de S&T (science et technologie) mais ce n'est pas sans obstacles », rapporte Johan Delory, chargé de mission coopération académique et scientifique à l'ambassade de France aux États-Unis. Avant d'être nommé directeur de la NSF en octobre 2010, Subra Suresh était doyen de la faculté des sciences, génie des matériaux et ingénierie au MIT.
Les dépenses de R&D en sciences et ingénierie des universités américaines ont « augmenté de 5,8 % entre l'année fiscale 2008 et 2009 » et « représentent 54,9 milliards de dollars (40,4 milliards d'euros) », annonce la NSF (National science foundation), mardi 28 septembre 2010. Elle publie son rapport annuel des statistiques des dépenses de R&D en science et ingénierie dans les universités, se basant sur les chiffres de l'année fiscale 2009 (juillet 2008-mai 2009). Avec près de 32,6 milliards de dollars (24 milliards d'euros), les fonds fédéraux représentent toujours « la part la plus importante du financement des universités », avec même une augmentation de 4,2 % par rapport à l'année précédente. Mais, signale la NSF, cette part est « passée de 64 % en 2005 à 59 % en 2009 ». En revanche, les contributions industrielles (3,2 milliards de dollars, soit 2,3 milliards d'euros) sont celles qui ont « le plus augmenté entre 2008 et 2009 (+ 11,6 %) ». Le financement privé représente ainsi 5,8 % des ressources R&D des universités américaines, contre 4,8 % en 2005.
Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et Arden Bement, directeur de la NSF (National science foundation), ont signé un accord de coopération scientifique et technologique entre la France et les États-Unis, mercredi 22 octobre 2008. Il vise à "faciliter et encourager les travaux communs entre les chercheurs des deux pays". A la suite de cette signature, la ministre a proposé que soit organisé "le premier comité scientifique franco-américain au printemps 2009".
En juin 2018, l’Anact lançait un appel à projets financés par le Fonds pour l’amélioration des conditions de travail (Fact) sur le maintien en emploi des personnes fragilisées par des problèmes de santé ou des situations de handicap. Quatre ans plus tard, l’Agence publie un "cahier" visant à capitaliser sur les expériences réalisées dans ce cadre. Les porteurs de projets, réunis à l’occasion d’un séminaire, y évoquent les actions menées et formulent des recommandations.