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« La RGPP concerne autant les collectivités que l'État », affirme le ministre des Collectivités territoriales, Philippe Richert, mercredi 9 février 2011, devant la mission d'information du Sénat sur les conséquences de la RGPP (révision générale des politiques publiques) pour les collectivités . Cette première journée d'audition a aussi été l'occasion d'entendre les présidents de l'ADF (Assemblée des départements de France), Claudy Lebreton, et de la FMVM (Fédération des maires de villes moyennes), Bruno Bourg-Broc, qui s'accordent sur le fait qu'il est trop tôt pour faire un bilan de cette réforme qui doit être appliquée de manière différenciée selon les territoires. « Nous commençons tout juste à la vivre, à en ressentir les effets », estime notamment Claudy Lebreton par ailleurs président (PS) du conseil général des Côtes-d'Armor. Pour Bruno Bourg-Broc, également maire (UMP) de Châlons-en-Champagne, il « semble prématuré d'en dresser un bilan alors que nous sommes encore en pleine réorganisation ».
Une mission commune d'information du Sénat sur les conséquences de la RGPP pour les collectivités territoriales et les services publics locaux est créée depuis le mercredi 26 janvier 2011, indique la chambre haute jeudi 27 janvier 2011. Présidée par François Patriat (Groupe socialiste, Côte-d'Or), la commission « a procédé à un premier échange de vues ». Les auditions doivent débuter le mercredi 9 février 2011.