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« Le CEA-Leti rejoint le III-V Lab afin de renforcer les capacités de recherche industrielle de ce centre de R&D dédié au domaine des semi-conducteurs », annoncent Alcatel-Lucent Bell Labs et Thales, lundi 7 mars 2011. Le III-V Lab est un laboratoire créé il y a cinq ans sous la forme d'un GIE (groupement d'intérêt économique) par les deux entreprises. « Ce partenariat public-privé entre trois partenaires est une sorte d'IRT avant la lettre, et sans grand emprunt » déclare à AEF Jean-Luc Beylat, président d'Alcatel-Lucent Bell Labs France. Ce nouveau partenariat permettra de combiner les technologies semi-conducteurs et du silicium. Ainsi, plus de 130 chercheurs techniciens et doctorants travailleront pour le III-V Lab. « Cet accord s'inscrit dans une double logique d'économie de moyens et d'interactivité entre les compétences technologique et les marchés visés. Nous avons entamé les discussions avec le CEA-Leti il y a deux ans car nous avions besoin, comme Thales, d'accéder à des technologies pointues et à des plates-formes silicium pour aller plus loin dans nos recherches », précise Jean-Luc Beylat.
« Aujourd'hui, des millions de personnes sont connectées à internet et les réseaux doivent s'adapter à cette évolution. C'est pourquoi nous voulions associer recherche publique et privée dans un laboratoire commun dans le but de développer l'internet du futur », déclare Jean-Luc Beylat, président d'Alcatel-Lucent Bell Labs France, lors de la cérémonie du troisième anniversaire de la mise en place d'un laboratoire commun de recherche entre l'Inria et les Bell Labs d'Alcatel-Lucent, mercredi 19 janvier 2011 à Paris. « Je tiens à souligner l'exemplarité du partenariat. L'Inria est un organisme de recherche de taille réduite [600 chercheurs] dans un domaine très vaste. Par conséquent, nous redéfinissons fréquemment notre stratégie de recherche et ce partenariat avec Alcatel-Lucent s'y inscrit parfaitement », indique Michel Cosnard, PDG de l'Inria.
Dix-sept fournisseurs de services de télécommunication, sociétés informatiques, fournisseurs d'infrastructure et instituts universitaires européens (1) lancent le projet de recherche « UniverSelf » pour les réseaux du futur, annonce Alcatel-Lucent, qui en assure la coordination, mercredi 22 décembre 2010. Outre Alcatel-Lucent, les autres partenaires français sont les entreprises France Telecom, responsable de la direction technique du projet et Thales Communications, ainsi que l'Inria (Institut national de recherche en informatique et en automatique). « UniverSelf est soutenu par le septième PCRDT (programme-cadre de recherche et de développement technologique) de l'Union européenne, qui lui a accordé un budget de dix millions d'euros », précise l'entreprise. Il « s'étalera sur une période de 36 mois (2010 à 2013) ».
L'UPMC et le groupe Thales ont signé mardi 7 décembre 2010 un accord cadre de collaboration, qui porte notamment sur la propriété intellectuelle créée ensemble par les deux partenaires et qui fixe la base juridique pour les futurs projets communs. « Cet accord, d'une durée de cinq ans, consolide un partenariat de recherche déjà fortement développé entre les deux organismes. »
« Malgré la crise, qui a affecté le secteur de la microélectronique, les dépenses de R&D prévues par la feuille de route de Nano 2012 ont été réalisées jusqu'à présent », assure Marie-Noëlle Semeria, responsable de la stratégie de recherche et du développement international au CEA-Leti (Laboratoire d'électronique et de technologies de l'information). L'organisme de recherche et le groupe franco-italien STMicroelectronics ont organisé un « point d'étape » avec les autres partenaires du programme Nano 2012 (IBM, Inria, CNRS, universités et PME), les 16 et 17 mars 2010, à Grenoble.
« Le système des pôles de compétitivité est sain, il ne faut pas chercher à le formater », indique Matthieu Louvot, conseiller technique de Nicolas Sarkozy pour l'industrie, l'énergie et les transports. Il s'exprime devant une quinzaine de responsables de la recherche d'entreprises, directeurs et présidents de pôles de compétitivité (1), réunis par AEF lors de la première édition de son Club « recherche et innovation », vendredi 12 mars 2010. Revenant sur la politique du gouvernement concernant les pôles de compétitivité, Matthieu Louvot affirme que « les résultats de l'évaluation des pôles seront rendus publics dans quelques semaines, vraisemblablement courant avril et il y aura des délabellisations et des nouvelles labellisations de pôles. » « Nous allons continuer à évaluer les pôles tous les trois ans, c'est très sain », ajoute-t-il estimant par ailleurs que « dans chaque filière, cinq ou six pôles de compétitivité devraient travailler ensemble ». Bernard Belloc, conseiller du président de la République pour l'enseignement supérieur et la recherche, participe également à la rencontre qui aborde par ailleurs le crédit d'impôt recherche et la place des doctorants en entreprise (AEF n°272716 et n°272713).
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.