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Rendre plus lisible le dossier du projet Iter pour le public, expliciter les raisons qui ont conduit à retenir le site de Cadarache, concerter le public sur les orientations qui seront prises, notamment en matière de sûreté nucléaire. Telles sont quelques-unes des recommandations de l'Autorité environnementale du CGEDD (Conseil général de l'environnement et du développement durable) du ministère du Développement durable, qui a rendu son « avis délibéré sur la demande d'autorisation de création de l'installation nucléaire de base Iter », mercredi 23 mars 2011. L'Autorité avait été saisie par la direction de la prévention des risques du ministère du Développement durable.
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« La France continuera à tenir ses engagements, comme elle l'a fait depuis le début pour l'aménagement du site et de son environnement », déclare Valérie Pécresse en faisant un « point d'étape sur le calendrier du projet Iter » (réacteur expérimental de fusion thermonucléaire) en conseil des ministres, mercredi 25 août 2010. Elle rappelle en particulier que « le Conseil de l'Union européenne a confirmé l'engagement de l'Union à financer la part européenne et notamment le besoin additionnel de crédits d'engagement pour la période 2012-2013, estimé à un maximum de 1,4 milliard d'euros ». Début août 2010, Bernard Bigot, administrateur général du CEA (Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives) et « haut représentant français pour la réalisation en France d'Iter », indiquait à AEF que « la France va devoir doubler son financement qui va ainsi passer de 600 millions à 1,1 milliard d'euros ».
Le professeur des universités Benjamin Stora, qui enseigne l’histoire du Maghreb contemporain, les guerres de décolonisations et l’histoire de l’immigration maghrébine en Europe à Paris 13 et à l’Inalco, a remis, le 20 janvier 2021 à Emmanuel Macron, son rapport sur "les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d’Algérie". Parmi ses recommandations, une concerne l’éducation : "accorder, dans les programmes scolaires, plus de place à l’histoire de la France en Algérie". Il préconise aussi "de généraliser cet enseignement à l’ensemble des élèves, y compris dans les lycées professionnels". Le président de la République avait commandé ce rapport en juillet pour "dresser un état des lieux juste et précis du chemin accompli en France sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie". Selon France Info, l’Élysée devrait "suivre l’essentiel des recommandations".