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Claude Guéant annonce qu'il travaille à un plan de déploiement de policiers et de gendarmes sur la voie publique, lors d'une interview sur I-télé, jeudi 24 mars 2011. « Dans peu de temps, à la rentrée, on verra plus de policiers et de gendarmes dans la rue », précise le ministre de l'Intérieur. Il évoque la présence de « plusieurs milliers » d'agents supplémentaires, grâce à des recrutements et des redéploiements. Néanmoins, il précise que cela se fera « à budget constant » et que la RGPP (révision générale des politiques publiques) continuera de s'appliquer au ministère de l'Intérieur : « Je ne peux le faire qu'à l'intérieur de la loi de finances. »
« Il faut dépassionner les débats et faire la pédagogie du progrès », déclare le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, en ouverture des quatrièmes rencontres parlementaires sur la sécurité, mardi 22 mars 2011 à la maison de la Chimie de Paris. Cette édition avait pour thème les avancées technologiques au profit de la sécurité. « Ce sujet donne lieu à des débats théoriques qui prennent rapidement la forme de controverses idéologiques. Or de nombreuses avancées technologiques ont fait leurs preuves dans d'autres pays et sont indispensables aux enquêteurs. D'autant que les criminels eux-mêmes utilisent les progrès de la technologie », ajoute-t-il devant un auditoire d'environ 200 personnes. Le ministre de l'Intérieur, qui insiste sur le fait que de les nouveaux outils « doivent respecter les droits individuels », souligne « les efforts continus du gouvernement pour doter les enquêteurs » de moyens technologiques pointus.
« Les radars vont êtres amplifiés. Il y en aura 1 000 nouveaux pour 2011-2012 », indique Claude Guéant, lors d'une conférence de presse sur le thème de la sécurité routière au ministère de l'Intérieur, lundi 21 mars 2011. Auparavant, le ministre avait reçu les associations de victimes de la route et de prévention routière. Pour contrer l'insécurité routière, Claude Guéant affirme que les contrôles routiers vont être renforcés, notamment par des forces de sécurité en tenue civile. « Il va y avoir des opérations de grande ampleur avec la police, la gendarmerie et les douanes », indique-t-il. Et d'ajouter : « L'objectif du gouvernement n'est pas de sanctionner ou d'augmenter le budget de l'État avec les radars. Mais il faut introduire un nouveau comportement de la part des conducteurs. »
« Il faut travailler à améliorer la relation entre les policiers et la population. On peut avoir davantage de patrouilles à pied, à effectifs plus réduit, davantage de voitures sérigraphiées, une présence policière plus visible », affirme le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, dans une interview au « Monde » daté mercredi 16 mars 2011. Il indique que « deux lois publiées en 2007 sont restées insuffisamment utilisées : celle de la prévention de la délinquance et celle de l'aide à l'enfance » (AEF Sécurité globale n°246391). Ces lois doivent « permettre d'impliquer le tissu social dans la prise en charge de la sécurité. La police et la gendarmerie doivent reprendre des contacts plus systématiques avec la population ». Le ministre précise cependant que « la police a une fonction de prévention, de protection et de répression » et que cela ne signifie donc pas « que les policiers se transforment en assistants sociaux ou en animateurs sportifs ».
« La police nationale renforcera de 300 fonctionnaires les effectits du SRPT (service régional de la police des transports) » d'Île-de-France, annonce le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, lors d'un déplacement à la Préfecture de police de Paris sur le thème de la sécurité dans les transports, vendredi 11 mars 2011. Le ministre, qui était accompagné des P-DG de la RATP, Pierre Mongin, et de la SNCF, Guillaume Pépy, demande aux deux entreprises d'examiner « la possibilité de faire un effort de même ampleur dans les semaines qui viennent, afin d'apporter un supplément de sécurité aux usagers des transports en commun ». Le ministre de l'Intérieur rappelle qu'aujourd'hui, le SRPT comprend « environ 1 250 fonctionnaires » et qu' « environ 1 000 trains et 1 900 gares font chaque jour l'objet d'une surveillance ». « Compte tenu de l'attente des franciliens, je souhaiterais développer les moyens mis au service de leur sécurité », précise-t-il.