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563 800 euros pour la construction de 106 logements locatifs sociaux performants sur le plan de l'énergie et la rénovation énergétique de 362 autres dans le cadre du Plan bâtiments économes 2008-2013 : c'est ce qu'a décidé la commission permanente de la région Midi-Pyrénées, jeudi 21 avril 2011. Parmi les projets « les plus importants », la région aidera notamment la réhabilitation de 200 logements de la Cité Lannedarre de Lourdes ou encore la construction de 73 logements sur la ZAC Borderouge de Toulouse. Le Plan bâtiments économes 2008-2013 a pour objectif, en partenariat avec la Caisse des dépôts, de réduire la facture énergétique des ménages. Ces nouvelles interventions portent à 1 936 le nombre total de logements sociaux convertis à la « sobriété énergétique » sur le territoire régional, dont 584 constructions. À l'occasion de la présentation des dossiers en commission permanente, le président (PS) du conseil, Martin Malvy a souligné que cette politique régionale vise à aider les ménages en logements sociaux « les plus pénalisés par la hausse des tarifs de l'énergie ».
« Les résultats de cette première vague montrent que notre conception de nos missions est en adéquation avec les attentes des Français », estime Thierry Repentin, président de l'USH (Union sociale pour l'habitat), à l'occasion de la présentation, jeudi 28 avril 2011, des résultats du premier baromètre d'image du logement social (1) réalisé par l'institut TNS Sofres, qui a vocation à devenir annuel. Parmi les objectifs des organismes HLM, les Français, qu'ils en soient ou non locataires, jugent prioritaire la réduction de la consommation énergétique pour diminuer les charges, la rénovation du parc public et la construction. « Ils nous reconnaissent comme des 'bâtisseurs' », souligne le président de l'Union qui rapporte que 54 % des personnes interrogées pensent que la principale activité des organismes HLM est de gérer les demandes et les attributions et que 48 % estiment que c'est la construction de logements neufs.
Le conseil régional d'île-de-France a voté, en séance plénière, vendredi 8 avril 2011, en faveur d'un nouvel appel à projet « réhabilitation durable » de logements collectifs privés en copropriété et de bâtiments tertiaires qui sera lancé dans le courant du mois d'avril avec le concours de l'Ademe. « Les projets doivent être audacieux, avec la volonté d'atteindre une consommation finale, après réhabilitation, inférieure au niveau du label BBC rénovation, un chiffre qui dépasse donc les objectifs fixés par les lois Grenelle », précise la région. Cet appel à projet contiendra un critère social complémentaire, le montant des économies générées par l'aide aux travaux d'efficacité énergétique devant être répercuté sur les charges. Les participants auront deux mois pour déposer leur candidature.
« Le volet bâtiment du Grenelle, malgré son ambition, est insuffisant », déclare Damien Joliton, directeur technique d'Énergies demain, entreprise spécialisée dans la planification énergétique, jeudi 6 janvier 2011. Il est le co-auteur, avec Jean-Pierre Traisnel (LTMU-CNRS), Marie-Hélène Laurent (EDF), Anthony Mazzenga (GDF Suez) et Sylvie Caffiaux (GDF Suez), de l'étude « habitat facteur 4 » qui établit différents scénarios pour parvenir au facteur quatre (1) dans l'habitat à l'horizon 2050, présentée jeudi 6 janvier 2011. Selon les résultats de leurs travaux, la France devra réaliser « entre 550 000 et 600 000 réhabilitations par an » d'ici 2050 pour atteindre ce facteur quatre, alors que le Grenelle prévoit pour sa part un rythme de 400 000 rénovations annuelles.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :