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Développer les « contacts européens », contribuer à faire de la sécurité « une fonction stratégique de l'entreprise » et diffuser le plus largement possible la « culture sécurité » : tels sont les objectifs du Club des directeurs de sécurité en entreprise pour 2011. Dans son rapport annuel, publié début mai 2011, à quelques jours de son assemblée générale annuelle prévue le 17 mai 2011, l'association affirme ainsi que « la sécurité participe à la compétitivité et au développement des entreprises. Elle impose au CDSE de développer le dialogue entre les fonctions sécurité de l'entreprise et le top management ». Outre « les échanges entre entreprises autour de la sécurité », ceux « avec d'autres partenaires (pouvoirs publics, associations, prestataires…) [sont] au coeur de la logique de développement du CDSE » pour l'avenir, réaffirme le club.
« L'émergence des directeurs de la sécurité en entreprise intervient dans un contexte particulier, marqué par le concept de sécurité globale, qui a détrôné celui de la sécurité intérieure », décrit le sociologue Frédéric Ocqueteau. Il commentait, jeudi 28 avril à Paris, l'étude réalisée pour le compte du CDSE (Club des directeurs de sécurité des entreprises) et publiée dans le numéro de mars 2011 de la revue de l'association (AEF Sécurité globale n°244077). Selon Frédéric Ocqueteau, le développement de cette fonction intervient « dans un moment où les pouvoirs publics ont 'périmétré' les secteurs dits 'd'importance vitale' » et ont donc donné « une impulsion forte dans le processus de mise en protection de manière globale. »
Le Centre de crise du ministère des Affaires étrangères et européennes, le CDSE et le Cindex (Centre inter-entreprise de l'expatriation) ont renouvelé mardi 1er mars 2011 leur convention de partenariat. Ce texte prévoit notamment « un renforcement de la coopération opérationnelle sur les questions de sûreté, concernant la sécurité des collaborateurs et de leurs familles à l'étranger, et le développement de la présence de représentants d'entreprises dans les comités de sécurité des ambassades et des consulats ». Il prévoit également « l'accueil, au besoin et lors d'une crise, d'un 'officier de liaison' des entreprises au sein du centre de crise du MAEE (ministère des Affaires étrangères et européennes) et des échanges d'informations spécifiques, en fonction de la situation sécuritaire et sanitaire dans un pays ».
Le département sécurité économique de l'Inhesj et le CDSE ont présenté leur cycle d'expertise « security manager » mercredi 16 février 2011 à Paris (AEF Sécurité globale n°248360). Cette formation, qui vise les cadres intermédiaires, confirmés ou débutants d'une direction sécurité-sûreté et ceux qui veulent intégrer ce type de fonction, débutera fin mai 2011. « Ce cycle d'expertise est une vieille idée, explique Eric Delbecque, directeur de la sécurité économique à l'Inhesj, qui part du constat qu'il existe un besoin de formation à un niveau intermédiaire ». Le cycle de 30 heures doit permettre de « se pencher sur des problématiques très concrètes », de l'audit sur la sécurité à la politique de sécurité globale d'une entreprise en passant pas le management de crise ou encore la gestion de la relation avec les sociétés privées de sécurité.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :