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« Le GIGN ne s'est jamais contenté de produits disponibles sur étagères mais a toujours élaboré son propre cahier des charges en matière de matériel », déclare Ghislain Réty, colonel du GIGN. Il s'exprimait, jeudi 12 mai 2011, lors d'une conférence intitulée « le travail de recherche et développement du GIGN sur les sites et vecteurs sensibles », organisée dans le cadre de la convention d'affaires ESM (European Security and Safety Meetings). La sixième édition de cet événement se tenait au centre de conférences Eurexpo de Chassieu, près de Lyon, mercredi 11 et jeudi 12 mai 2010. Pour faire face aux menaces, le GIGN « a subi une importante évolution depuis le début des années 2000 ». Il s'est notamment doté d'une structure de recherche et développement et a mis l'accident sur l'anticipation de la menace.
Faire en sorte que le Cnaps (Conseil national des activités privées de sécurité) fonctionne « comme une entreprise » : tel est le voeu formulé à la fois par le délégué interministériel à la sécurité privée, Jean-Louis Blanchou, et les responsables des organisations professionnelles de la surveillance humaine, jeudi 12 mai 2011, lors d'une table ronde sur le thème du Cnaps organisée dans le cadre des conférences de la convention d'affaires ESM (European Security and Safety Meetings). La sixième édition de cet événement se tenait au centre de conférences Eurexpo de Chassieu, près de Lyon, mercredi 11 et jeudi 12 mai 2010. Selon Jean-Louis Blanchou, le Cnaps devra se fixer « des objectifs en termes de rentabilité, de productivité et de contrôles de manière à rendre un vrai service aux entreprises et aux agents de ce secteur. »
« Dans les entreprise de surveillance humaine, il y a 30 à 40 % d'agents Ssiap. Si la sécurité incendie ne fait plus partie de la loi de 1983, ce seraient autant d'agents qui sortiraient du Cnaps », indique Michel Ferrero, président du Snes, dans une conférence dédiée à la sécurité incendie, mercredi 11 mai 2011, lors de la première journée de la convention d'affaires ESM (European Security and Safety Meetings) (AEF Sécurité globale n°241119). La sixième édition de cet événement se tient au centre de conférences Eurexpo de Chassieu, près de Lyon, mercredi 11 et jeudi 12 mai 2010. Depuis l'entrée en vigueur de la carte professionnelle pour les agents de surveillance humaine, en 2007, les organisations professionnelles de la surveillance humaine dénoncent un flou juridique autour du statut des agents Ssiap (AEF Sécurité globale n°243717) et n°247728)
« Il est nécessaire pour le directeur de la sécurité de se forger une place centrale, qui permette d'avoir un contact direct avec les grands décideurs de l'entreprise », affirme Nicolas Krmic, directeur de la sécurité du groupe Subsea 7 pour l'Afrique et le golfe du Mexique mercredi 11 mai 2011, lors de la première journée de conférences organisées dans le cadre de la convention d'affaires ESM (European Security and Safety Meetings). La sixième édition de cet événement se tient au centre de conférences Eurexpo de Chassieu, près de Lyon, mercredi 11 et jeudi 12 mai 2010. Basé au Royaume-Uni, Subsea 7 est spécialisé dans la construction de plateformes pour l'exploitation d'hydrocarbures, chantiers qui ont souvent lieu dans des zones sensibles. « Quand je suis arrivé, j'ai dû batailler afin que la sécurité des personnels et des bateaux soient prise en compte dans les réponses aux appels d'offres. Auparavant, ce n'était pas budgété », ajoute le directeur.