En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
« Améliorer la connaissance des besoins de l'industrie », « travailler sur les prescripteurs », « rendre les métiers plus attractifs », « prendre une part plus active dans l'éducation », « lever les freins sur la formation ». Telles sont les cinq propositions d'un rapport d'étape visant à « doter l'industrie de compétences nécessaires à sa compétitivité ». Elles ont été présentées lors de la convention annuelle de l'UIMM, baptisée « La Grande arche de l'industrie », et organisée à La Défense (Hauts-de-Seine) à l'initiative de l'organisation patronale, jeudi 19 mai 2011. Au cours de cette manifestation ont été tenues des tables rondes sur le thème de la compétitivité sociale et économique pour favoriser le développement des entreprises industrielles françaises. Trois rapporteurs du monde de l'entreprise et de la recherche ont auditionné pendant plusieurs mois des acteurs français et internationaux des sphères sociales, syndicales et économiques. Au cours de l'événement, ils ont présenté les résultats de leurs travaux pour alimenter les réflexions de l'UIMM dans la perspective de publier un manifeste fin 2011, en vue de la campagne pour l'élection présidentielle (AEF n°240464).
« L'ensemble des acteurs sont unanimes pour dire que le marché du travail fonctionne mal en France. Or, le concept de flexisécurité est une roue de sortie pour essayer de l'améliorer », indique Pierre Cahuc, professeur à l'École polytechnique et rapporteur d'une note d'analyse intitulée « construire une flexisécurité du marché du travail », présentée lors de la convention annuelle de l'UIMM, baptisée « La Grande arche de l'industrie », et organisée à La Défense (Hauts-de-Seine), jeudi 19 mai 2011 (AEF n°240464). Selon l'économiste, la flexisécurité repose sur « quatre grands piliers » : « une assurance chômage généreuse, mais efficace », « un service public de l'emploi efficace », « la formation professionnelle » et « un contrat de travail qui assure une flexibilité interne et externe aux entreprises ». Elle pourrait être une des voies concrètes de réforme et d'aménagement pour améliorer la compétitivité sociale et économique afin de favoriser le développement des entreprises françaises.
Les partenaires sociaux de la branche de la métallurgie examinent, mercredi 27 mars 2011, la troisième partie du projet d'accord global sur la formation professionnelle, relative à l'alternance et aux dispositifs d'accès à la formation professionnelle des salariés, soumise par l'UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie). Il doivent également se prononcer sur des modifications à la marge concernant la deuxième partie du projet d'accord, relative au financement de la formation, dont la première mouture a été présentée lors de la précédente séance de négociation, mardi 29 mars 2011 (AEF n°244778).
« La FTM (fédération des travailleurs de la métallurgie) CGT ne peut pas s'associer à une déclaration prônant l'alternance pour l'alternance alors que c'est d'une politique volontariste d'embauche que nous avons besoin dans la métallurgie. » C'est ce que déclare la fédération CGT de la métallurgie dans un communiqué diffusé vendredi 1er avril 2011. L'organisation fait ainsi référence à l'adoption d'une « déclaration paritaire en faveur de l'emploi des jeunes dans la métallurgie », par l'UIMM, et quatre organisations syndicales de la métallurgie (CFDT, CFE-CGC, CFTC et FO), mardi 29 mars 2011, à l'occasion d'une séance de négociation sur la formation professionnelle. Dans cette déclaration, les signataires font part de leur souhait de parvenir à 40 000 contrats en alternance par an d'ici fin 2012 contre environ 34 000 en 2010 (AEF n°244655). À l'occasion d'une visite de l'entreprise Snecma, située à Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne), lundi 4 avril 2011, Xavier Bertrand, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé et Jean-François Pilliard, délégué général de l'UIMM, ont signé un accord de mobilisation associant l'Etat et la branche pour atteindre cet objectif (AEF n°244127).
L'UIMM,et quatre organisations syndicales de la métallurgie (CFDT, CFE-CGC, CFTC et FO) « affirment leur ambition de poursuivre, en 2011, dans les entreprises de la métallurgie, la progression du nombre de contrats en alternance, en vue d'atteindre le nombre de 40 000 contrats par an fin 2012 ». Elles ont adopté en ce sens une « déclaration paritaire en faveur de l'emploi des jeunes dans la métallurgie », mardi 29 mars 2011, à l'occasion d'une séance de négociation sur la formation professionnelle. « Malgré une conjoncture économique particulièrement difficile, les mesures exceptionnelles prises dans la branche, en 2009 et en 2010, ont permis de soutenir le recrutement de jeunes, particulièrement en maintenant le nombre de contrats en alternance à un niveau élevé. Ce nombre, de 32 351 contrats en 2009, est passé à 33 979 contrats en 2010, soit une augmentation de 5 % », rappellent les signataires.
Les partenaires sociaux de la branche de la métallurgie examineront, mardi 29 mars 2011, la deuxième partie du projet d'accord global sur la formation professionnelle, relative au financement, soumise par l'UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie). Ce volet du texte rassemble les mesures relatives aux modalités de collecte des fonds de la formation professionnelle, ainsi que les principales missions de l'Opcaim, l'organisme collecteur de la branche. L'UIMM a également transmis aux organisations syndicales une nouvelle version, amendée à la marge, de la première partie du projet d'accord, relative à l'Observatoire des métiers, à l'orientation, aux qualifications professionnelles et à la préparation opérationnelle à l'emploi (AEF n°247356).
Les partenaires sociaux de la métallurgie se rencontrent, mardi 23 février 2011, pour examiner un premier avant-projet d'accord sur la formation professionnelle soumis par l'UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie). L'objectif de cette négociation, entamée le 26 janvier dernier, consiste notamment à rassembler en un seul texte l'ensemble des dispositions relatives à la formation professionnelle, aujourd'hui éparses dans divers accords, et à y intégrer les mesures de l'accord national interprofessionnel sur la formation du 7 janvier 2009, de l'accord de branche du 7 décembre 2009 (AEF n°279554) et de l'accord de branche sur la GPEC du 17 mai 2010 (AEF n°268760).