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« La loi du 12 juillet 1983 réglementant les activités privées de sécurité interdit aux agents de protection physique de personnes de porter des armes. Or les ministères nous délivrent exceptionnellement des autorisations à en porter. Nous sommes ainsi couverts en cas de contrôle, mais pas en cas de sinistre. C'est un problème juridique fort à notre sens », déclare Christian Defourneaux, président de l'Acose (Association des chauffeurs et officiers de sécurité européen), dans un entretien à AEF Sécurité globale. Le chef d'entreprise revient en outre sur la vocation de l'Acose, qui deviendra prochainement l'UNA3P (Union nationale des acteurs de la protection physique de personnes). L'association souhaite notamment valoriser l'image de la profession et être un interlocuteur de l'État. Interrogé sur les perspectives d'avenir, Christian Defourneaux milite pour la possibilité de créer des sociétés militaires privées françaises et anticipe, sur le territoire national, le développement de la protection rapprochée privée : « Elle va se développer, notamment en raison de la contraction des effectifs de police et de gendarmerie. »