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L'Opecst (Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques) lance une enquête auprès des docteurs, à travers un questionnaire mis en ligne sur le site internet de l'ABG-Intelli'agence, lundi 23 mai 2011. « Cette enquête anonyme vise (…) à contribuer à une meilleure compréhension des conditions d'expatriation et de retour des docteurs et aussi de leur évolution de carrière », indiquent en préambule les députés Claude Birraux (UMP, Haute-Savoie), président de l'office, et Jean-Yves Le Déaut (SRC, Meurthe-et-Moselle), vice-président. « Par ailleurs, elle doit permettre de mieux cerner leur perception de l'innovation et de comparer, via leur vécu, les conditions de l'innovation en France avec celle d'autres régions du monde. » Le questionnaire comprend une « trentaine de questions » et demande « une dizaine de minutes » pour y répondre.
46 % des docteurs travaillent dans la sphère privée en 2007, contre 34 % dix ans plus tôt, indique le Céreq dans une note « Bref » intitulée « Des docteurs en mal de stabilisation » datée de septembre 2010 (1). Par exemple, en sciences de l'ingénieur, « la majorité des emplois se trouve dans la recherche privée, malgré la concurrence […] des diplômés d'écoles d'ingénieurs ». En droit, sciences économiques et gestion, « une part croissante des jeunes docteurs occupe des emplois dans le secteur privé en dehors de la recherche ».
Les cinq alliances thématiques de recherche sont auditionnées par l'Opecst (Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques), mardi 23 novembre 2010, à l'Assemblée nationale. Cette audition publique, présidée par Claude Birraux, député (UMP) de Haute-Savoie et président de l'office, vise « à établir un premier bilan d'étape, afin d'apprécier dans quelle mesure ces alliances assurent une meilleure coordination de la recherche française, et d'examiner les perspectives de renforcement et d'élargissement de ces coopérations ». Après avoir entendu successivement les responsables d'Aviesan, d'Allistene, d'Ancre, d'AllEnvi et d'Athéna, mais aussi de l'ANR, de l'Ademe, d'Oséo, de la CPU et du MESR, l'office en conclut que les alliances présentent « un intérêt indéniable quel que soit le domaine concerné ».
« Trois ans après leur sortie du système scolaire, 10 % des jeunes docteurs (…) sont au chômage » : tel est le principal enseignement que tire le Céreq de son enquête « L'insertion des docteurs, enquête génération 2004, interrogation 2007 », publiée en juillet 2010 et qu'AEF avait révélée en décembre 2009 (AEF n°280603). « Sortir avec un diplôme élevé de l'enseignement supérieur protège du chômage », écrivent Julien Calmand et Jean-François Giret, auteurs de l'enquête. Mais si « cette constatation s'avère globalement juste, elle est fausse pour le doctorat », ajoutent-ils.
« Il existe depuis le début des années 2000 une césure au niveau du diplôme le plus élevé de la formation universitaire : alors qu'en 2007 les jeunes diplômés de niveau master ont un taux de chômage de 7 %, celui des titulaires d'un doctorat culmine à 10 %. Or, les docteurs constituent une ressource humaine essentielle dans le secteur de la recherche ». Telle est l'une des conclusions de la note de veille intitulée « Les difficultés d'insertion professionnelle des docteurs : les raisons d'une exception française » publiée par le CAS (Centre d'analyse stratégique), jeudi 29 juillet 2010. La note observe qu' « en France, malgré le développement important des emplois en entreprise, c'est surtout le sous-investissement en R&D du secteur privé […] qui pèse sur l'insertion professionnelle des titulaires de doctorats ».
En cas de difficultés de trésorerie, les entreprises et travailleurs indépendants affectés par les récents feux de forêts "pourront solliciter l’Urssaf afin de bénéficier d’un délai de paiement, et d’un report de leurs cotisations et contributions sociales", annonce la caisse de recouvrement, jeudi 18 août 2022. "Les pénalités et majorations de retard feront l’objet d’une remise d’office." "Toute demande des entreprises et travailleurs indépendants directement ou indirectement affectés par les incendies fera l’objet d’une analyse prioritaire et bienveillante de la part des services de l’Urssaf."