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Le SML (syndicat des médecins libéraux) formule une série de propositions relatives aux conditions d'exercice et de rémunération des médecins à expertise particulière (homéopathes, ostéopathes, acupuncteurs, médecins vasculaires, nutritionnistes, etc). Le syndicat, à l'origine de la création d'une union de MEP en 2009, souhaite peser dans les négociations conventionnelles en cours pour obtenir que soit mieux définie dans le parcours de soins la place de ces quelque 12 000 médecins à exercice exclusif, généralistes ayant acquis une formation complémentaire validées par des diplômes universitaires (DESC, Diplômes d'université ou capacités) reconnues par l'ordre des médecins.
Le SML (syndicats des médecins libéraux) dénonce, mardi 13 janvier 2009, "les difficultés à la limite de la discrimination" que rencontrent les MEP (médecins généralistes à exercice particulier) dans le cadre de la procédure de spécialisation en médecine générale. Pour leur venir en aide, le syndicat annonce la création d'une cellule d'assistance à l'obtention de leur titre de spécialiste en médecine générale à orientation particulière.
Les MEP (médecins à exercice particulier) ont décidé samedi 15 novembre 2008, lors d'un colloque tenu à Marseille à l'initiative de l'URML (Union régionale des médecins libéraux) de Provence-Alpes-Côte d'Azur en présence de la quasi totalité des syndicats de médecins (homéopathes, acupuncteurs, ostéopathes, auriculothérapeutes, mésothérapeutes...), sociétés savantes et représentants d'associations de formation initiale et continue, d'adopter la nouvelle appellation de Most (médecins à orientation spécifique thérapeutique) et de créer une fédération dont l'objectif sera de les représenter au plan national auprès des pouvoirs publics et des assureurs santé.