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« Il n'est pas possible d'engager un responsable propre aux agents de protection rapprochée au sein du Cnaps », prévient Jean-Louis Blanchou, mardi 14 juin 2011, lors d'une journée d'études sur la protection rapprochée organisée par l'université Paris Descartes, en partenariat avec l'Inhesj et avec le soutien d'Acose (Association des chauffeurs et officiers de sécurité européens) (AEF Sécurité globale n°238568 et n°238392). Le délégué interministériel à la sécurité privée rappelle néanmoins que l'Acose est affiliée à l'USP, qui sera pour sa part membre de la structure. Le secteur de la protection rapprochée représente, selon les intervenants lors de la journée d'étude, environ 600 professionnels.
« Il existe des facteurs favorables au développement du métier » de la protection rapprochée, à commencer « malheureusement par la dégradation de l'environnement » à l'international, explique Olivier Hassid, directeur du CDSE, mardi 14 juin 2011, lors d'une journée d'études sur la protection rapprochée organisée par l'université Paris-Descartes, en partenariat avec l'Inhesj et avec le soutien d'Acose (Association des chauffeurs et officiers de sécurité européens, AEF Sécurité globale n°240386). Il mentionne ainsi la soixantaine de Français pris en otage ou enlevés l'année dernière, d'après les chiffres du Quai d'Orsay. Les kidnappings ont augmenté de 65 % entre 2005 et 2010. « Il y a aussi les insurrections, les quatre mois de crise vécus au début de l'année », précise-t-il.