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« Nous avons réussi à créer, en plein coeur de Paris, rive gauche, un lieu où deux populations se rencontrent et se mélangent. Des portes psychologiques ont été ouvertes », explique à AEF Estelle Halévi, directrice du programme « Stanford à Paris », à l'occasion du dixième anniversaire de l'implantation de cette antenne parisienne de l'université californienne. Le programme, qui est fait en collaboration avec l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris), permet aux étudiants de l'université de Stanford (USA) qui le souhaitent de se plonger pendant un, deux, ou trois trimestres dans la culture française tout en suivant des cours au sein de l'Isep. « Nous avons ouvert cette possibilité pour montrer aux étudiants américains que Paris, ce n'est pas seulement le vin et le fromage mais qu'on peut aussi y étudier, y faire de la recherche, innover ». « Au début, nous recevions une cinquantaine d'étudiants par an. Cette année, ils étaient plus d'une centaine. Le bilan est très positif », se félicite-t-elle.
Le nombre d'étudiants français inscrits dans les établissements d'enseignement supérieur aux États-Unis continue à progresser, annonce la commission franco-américaine (Fulbright commission) (1) lundi 15 novembre 2010. Elle se base sur le rapport « Open Doors 2010 », publié par l'Institute of International Education (IIE) avec le soutien du Bureau des affaires éducatives et culturelles du département d'État américain. On comptait 7 421 étudiants français aux États-Unis en 2008-2009. On en dénombre 7 716 en 2009-2010, soit une hausse de 4 %. « Cette hausse est supérieure à la progression mondiale (+2,9 %) et contraste fortement avec la baisse des effectifs venus d'Europe (-2,9 %) », note la commission franco-américaine. Cette dernière ajoute qu'il s'agit de la sixième année consécutive de croissance et que la France progresse d'une place dans le classement des pays pourvoyeurs d'étudiants aux États-Unis, à présent au dix-septième rang, « très loin derrière la Chine dont la progression est spectaculaire cette année ».
« Un des buts de notre réforme pédagogique du cycle ingénieur engagée en 2008 est de remotiver des étudiants pour les enseignements traditionnels », indique Michel Ciazynski, directeur général de l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris), une école d'ingénieurs privée, membre de la Fesic, mardi 26 octobre 2010 (AEF n°313346). « Nous avons décidé de consacrer en première année la moitié du volume d'enseignement à l'apprentissage par projet. Cela permet à l'étudiant de construire ses connaissances et de développer ses compétences », détaille Dieudonné Abboud, directeur de l'enseignement. « Par groupes de 6 ou 7, les étudiants, aidés par un tuteur, ont six mois pour réaliser un projet à caractère professionnalisant. Un semestre est consacré à l'informatique et l'autre à l'électronique et au signal », précise-t-il. Il s'agit par exemple de construire un robot ou un site internet.
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.