Continuer sans accepter

Bonjour et bienvenue sur le site d’AEF info
Vos préférences en matière de cookies

En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.

Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :

  • Mesurer et améliorer la performance du site
  • Adapter la publicité du site à vos centres d'intérêt
  • Partager sur les réseaux sociaux
En savoir plus sur notre politique de protection des données personnelles

Vous pourrez retirer votre consentement à tout moment dans votre espace « Gérer mes cookies ».

Montpellier : sept établissements du PRES s'accordent sur la signature unique des publications scientifiques. Perpignan refuse.

Les universités Montpellier-I, Montpellier-II, Montpellier-III Paul-Valéry et Unîmes, ainsi que Montpellier SupAgro, l'ENSCM et l'École des mines d'Alès signeront désormais leurs publications scientifiques sous l'intitulé « Université Montpellier Sud de France », indique, vendredi 24 juin 2011, Dominique Deville de Périère, présidente du PRES Université Montpellier Sud de France (UMSF). Cette décision fait l'objet d'un accord-cadre qui a été voté par le conseil d'administration du PRES le 6 juin 2011. L'université de Nîmes, Montpellier SupAgro, l'ENSCM et l'École des mines d'Alès ont conditionné leur acceptation de la signature unique à leur statut de membre fondateur du futur PRES reconfiguré, actuellement en réflexion dans le cadre de l'initiative d'excellence.

Cette dépêche est réservée aux abonnés
Il vous reste 87 % de cette dépêche à découvrir.

  • Retrouver l’intégralité de cette dépêche et tous les contenus de la même thématique
  • Toute l’actualité stratégique décryptée par nos journalistes experts
  • Information fiable, neutre et réactive
  • Réception par email personnalisable
TESTER GRATUITEMENT PENDANT 1 MOIS
Test gratuit et sans engagement
Déjà abonné(e) ? Je me connecte
  • Thématiques
  • Coordonnées
  • Création du compte

Thématiques

Vous demandez à tester la ou les thématiques suivantes*

sur5 thématiques maximum

1 choix minimum obligatoire
  • Enseignement / Recherche
  • 👁 voir plus
    ✖ voir moins

Fréquence de réception des emails*

Un choix minimum et plusieurs sélections possibles. Vous pourrez modifier ce paramétrage une fois votre compte créé

Un choix minimum obligatoire

* Champs obligatoires

Coordonnées

Renseignez vos coordonnées*

Veuillez remplir tous les champs
Votre numéro de téléphone n'est pas valide

* Champs obligatoires

Création de compte

Tous les champs sont obligatoires
Votre adresse e-mail n'est pas valide
Seulement les adresses e-mails professionnelles sont acceptées

Cette adresse vous servira de login pour vous connecter à votre compte AEF info

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont au moins 1 chiffre
Ces mots de passe ne correspondent pas. Veuillez réessayer

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont 1 chiffre

En validant votre inscription, vous confirmez avoir lu et vous acceptez nos Conditions d’utilisation, la Licence utilisateur et notre Politique de confidentialité

* Champs obligatoires

Valider

Merci !

Nous vous remercions pour cette demande de test.

Votre demande a été enregistrée avec l’adresse mail :

Nous allons rapidement revenir vers vous pour vous prévenir de l’activation de votre nouvel accès.

L’équipe AEF info


Une erreur est survenue !

Une erreur est survenue lors de l'envoi du formulaire. Toutes nos excuses. Si le problème persiste, vous pouvez nous contacter par téléphone ou par email :
 service.clients@aefinfo.fr  01 83 97 46 50 Se connecter

à lire aussi
Montpellier : « Le PRES est pionnier pour le passage à la biométrie des titres de séjour des étudiants étrangers » (D. Deville de Périère)

« Le PRES est pionnier pour le passage à la biométrie des titres de séjour des étudiants étrangers », déclare à AEF Dominique Deville de Périère, présidente du PRES UMSF (Université Montpellier Sud de France). À compter du 1er septembre 2011, une partie de l'instruction de la demande de titre de séjour s'effectuera dans les locaux du PRES. Cela concerne le contrôle, la saisie du dossier ainsi que la prise d'empreintes dans le cadre de la base de données AGDREF2 (application de gestion des dossiers des ressortissants étrangers en France). Ce rapprochement entre la préfecture de l'Hérault et le PRES montpelliérain a pour objectif de réduire le temps de traitement pour la délivrance des récépissés et des titres de séjour des étudiants et des chercheurs étrangers. Cinq agents seront dédiés à cette mission dans les locaux du PRES et des postes informatiques seront directement reliés au service informatique de la préfecture. « L'étudiant qui sera reçu saura en un quart d'heure si son dossier est complet ou pas. Il va gagner deux mois de délai et nous allons ainsi éviter qu'il soit sans papier », explique Cathy Vaur, responsable de l'accueil international du PRES. En 2009-2010, 95 % des consultations du service accueil international du PRES concernaient les cartes de séjour (soit 15 428 consultations).

Lire la suiteLire la suite
Montpellier : le PRES, « doté d'un faible pouvoir de décision », doit « changer radicalement de méthode » (Aeres)

Le PRES Université Montpellier Sud de France (UMSF) est doté d'un « faible pouvoir de décision », « ne s'est vu confier aucun rôle dans le pilotage stratégique du site » et « n'a pu réaliser que très incomplètement ses missions », autrement dit le pilotage de l'opération campus et la fusion des universités, selon les statuts du PRES (AEF n°293077). C'est ce que constate le rapport d'évaluation de l'Aeres rendu public en avril 2011. Dans le cadre de l'appel à projets idex, les trois universités montpelliéraines ont annoncé qu'elles abandonnaient leur projet de fusion (AEF n°251648). Le projet d'idex déposé par les établissements montpelliérains n'a pas été retenu dans la première vague de l'appel à projets (AEF n°244866). « Après deux années d'exercice, le bilan est extrêmement limité », estime l'agence d'évaluation. « L'évolution constatée est inquiétante et fait craindre un risque de décrochage du site si une réaction forte et une dynamique nouvelle ne sont pas rapidement mises en place ».

Lire la suiteLire la suite