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« En 2006, vous aviez, monsieur le ministre, été l'auteur de deux rapports, l'un sur les aides sociales aux étudiants (AEF n°394745) et l'autre sur la santé étudiante (AEF n°389501). Vous conseilliez aux pouvoirs publics en charge de cette compétence de prendre les mesures d'urgence adéquates. Aujourd'hui, vous êtes en charge de cette politique publique. La première réponse que vous apportez est l'augmentation du ticket RU [restaurant universitaire]. Virage pour le moins étonnant… », écrit la Fage, mercredi 6 juillet 2011, à Laurent Wauquiez, dans une lettre ouverte portant sur la hausse annoncée du coût du ticket de restaurant universitaire, à laquelle s'était opposé le CA du Cnous, le 1er juillet dernier (AEF n°237005).
PDE « s'oppose à une nouvelle hausse des droits d'inscription », tandis que l'Unef « dénonce une hausse sans précédent ». Les organisations étudiantes réagissent ainsi à la circulaire, adressée par le Dgesip, Patrick Hetzel, aux présidents et directeurs des établissements publics d'enseignement supérieur. Selon cette circulaire datée du 1er juillet, en taux plein, les droits de scolarité passeraient de 174 à 177 euros en licence (+ 1,7 %), de 237 à 245 euros (+ 3,4 %) en master et de 359 à 372 euros (+ 3,6 %) en doctorat, à la rentrée 2011 (AEF n°236779).
L'augmentation de 1,6 % du tarif du ticket de restauration universitaire (5 centimes d'euros, le ticket passant de 3 à 3,05 euros) est rejeté par le conseil d'administration du Cnous vendredi 1er juillet 2011, par 14 voix contre, 13 voix pour et 2 abstentions, indique l'Unef. Elle invite le gouvernement à « prendre acte » de cet avis suivi par les administrateurs du Cnous, « afin que les dépenses liées au besoin vital de se nourrir n'impacte pas les conditions sanitaires et de vie des étudiants ». « À défaut d'entendre l'avis du conseil d'administration, le nouveau ministre prendrait la responsabilité d'un premier acte au ministère qui s'attaquerait aux conditions de vie étudiantes », déclare l'Unef.
La Cour de cassation rappelle dans deux arrêts du 18 janvier 2023 que l’employeur doit mettre en œuvre les critères d’ordre des licenciements de manière loyale, objective et pertinente. Tel n’est pas le cas de la décision de l’employeur de valoriser, au titre des qualités professionnelles, un diplôme de langue de faible intérêt pour un poste administratif dans un établissement agricole, ou de pondérer le critère des charges de famille par tranches d’âge des enfants sans que cette distinction soit justifiée.