En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
21 universités françaises figurent dans le top 500 du classement de Shanghai 2011 (1), publié lundi 15 août 2011 par l'université Jiao Tong (Chine), soit une de moins qu'en 2010 (AEF n°262428). Comme en 2009 et en 2010, seules trois institutions françaises atteignent le top 100 : l'université Paris-Sud (Paris XI) devient la première université nationale, à la 40e place mondiale, juste devant l'UPMC, à la 41e place, et l'ENS Paris, qui conserve sa 3e place (69e mondiale). La plus grosse surprise de cette édition 2011 est l'apparition, entre les 102e et 150e places mondiales, de l'université fusionnée d'Aix-Marseille (effective au 1er janvier 2012), qui se hisse donc aux rangs 4-6 du palmarès français. En 2010, l'université de la Méditerranée (Aix-Marseille-II) se situait dans la tranche 8-13 du palmarès français (201-300 au monde) et l'université de Provence (Aix-Marseille-I) dans la tranche 14-18 (310-400 au monde). De la même manière, l'université de Lorraine, résultat de la fusion en cours des trois universités Paul-Verlaine de Metz, Henri-Poincaré (Nancy-I) et Nancy-II et de l'INPL, fait son entrée dans le palmarès mondial, entre la 201e et la 300e place (9e-13e française). En 2010, seule l'université Nancy-I apparaissait dans le classement de Shanghai, dans la tranche 310-400.
21 universités françaises figurent dans le top 500 du classement de Shanghai 2011 (1), publié lundi 15 août 2011 par l'université Jiao Tong (Chine), soit une de moins qu'en 2010 (AEF n°262428). La principale nouveauté de cette édition 2011 pour les universités françaises est la prise en compte, par l'établissement chinois, des fusions en cours des universités d'Aix-Marseille et de Lorraine, qui doivent être effectives au 1er janvier 2012. L'université d'Aix-Marseille se positionne ainsi dans la tranche 102-150 du classement mondial et dans la tranche 4-6 des universités françaises, derrière l'université Paris-Sud Paris-XI, qui devient la première université nationale et la 40e mondiale, l'UPMC (2e française et 41e mondiale) et l'ENS Paris (3e française et 69e mondiale). L'université de Lorraine apparaît quant à elle dans la tranche 201-300 du classement mondial, et dans la tranche 9-13 du classement français. Par ailleurs, deux établissements français gagnent des places de manière significative (Paris-Dauphine et Rennes-I) tandis que trois en perdent (Ecole Polytechique, ESPCI ParisTech et université de Nice Sophia Antipolis).
Une délégation du centre de recherche de l'université chinoise Jiao Tong de Shanghai, qui publie le classement de Shanghai, a rendu visite aux « PRES de l'université de Lorraine, d'Aix-Marseille Université, de Paris Sciences et Lettres et de l'université de Bordeaux », dans la semaine du 23 au 30 juillet 2011, à l'invitation du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, annonce celui-ci vendredi 29 juillet 2011. Selon le ministère, « ce voyage d'études a permis de souligner les effets positifs des regroupements opérés ces dernières années au sein des PRES, en améliorant la visibilité et la légitimité des pôles français à l'international ». Ce déplacement s'inscrit « dans la volonté des universités françaises de mieux voir reconnus leur excellence et leur rayonnement dans le monde », poursuit le ministère.
Le palmarès de Shanghai 2010 compte 22 universités françaises parmi les 500 classées au total, soit une de moins qu'en 2009 (AEF n°287989 ). L'université de Versailles Saint-Quentin fait son apparition entre la 401e et la 500e place, tandis que les universités de Lille-I et de Bordeaux-II sortent du palmarès. Comme en 2009, seules 3 institutions françaises figurent dans le top 100 : l'UPMC, qui gagne une place (39e contre 40e en 2009), l'université Paris-Sud (Paris-XI), qui perd deux places (45e contre 43e en 2009) et l'École normale supérieure de la rue d'Ulm, qui perd une place (71e contre 70e en 2009). L'université de Nice Sophia-Antipolis est la seule autre université française à progresser avec l'UPMC, passant de la tranche 402-501 à la tranche 301-400 (le classement se faisant par tranches à partir de la 100e place). En revanche, 3 autres établissements perdent des places : l'université Bordeaux-I, qui passe de la tranche 201-302 à la tranche 301-400, et l'École des mines de Paris et l'université de Rennes-I, qui passent de la tranche 303-401 à la tranche 401-500.
22 universités françaises figurent dans le top 500 du classement de Shanghai 2010, publié vendredi 13 août 2010 par l'université Jiao Tong (Chine), soit une de moins que l'an dernier (AEF n°287991). L'UVSQ fait son entrée dans le classement, Lille-I et Bordeaux-II en sortent. Les établissements présents dans le top 100 sont les mêmes qu'en 2009 : Paris-VI (UPMC), Paris-XI Sud et l'ENS-Ulm. L'UPMC passe de la 40e à la 39e place, Paris-XI de la 43e à la 45e place et l'ENS Ulm de la 70e à la 71e place. Au total, on trouve sept établissements français dans les 200 premières universités mondiales, treize dans les 300, 18 dans les 400 et 22 dans les 500.
Vingt-trois établissements français figurent dans le top 500 du classement de Shanghai 2009, publié vendredi 30 octobre 2009. Ce sont les mêmes établissements qu'en 2008 (AEF n°313046). Néanmoins, la France se classe au sixième rang mondial et gagne une place par rapport au classement précédent. Les trois mêmes établissements que l'année dernière sont présents dans le top 100, et remontent de quelques rangs : l'UPMC (Paris-VI) à la 40e place, l'université Paris-Sud (Paris-XI) à la 43e place et l'ENS Ulm à la 70e place.
23 établissements français figurent dans le top 500 du classement de Shanghai 2008, qui vient d'être mis en ligne aujourd'hui, mardi 5 août 2008. La France se classe au 7ème rang mondial: elle perd une place par rapport au classement de 2007, désormais devancée par la Suède. Trois établissements sont présents dans le top 100: Paris-VI (UPMC), Paris-XI Sud et l'ENS Paris. Selon ce classement, Strasbourg-I (Louis-Pasteur), qui figurait à leurs côtés l'année dernière, est sortie des 100 premières universités du monde.