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Le coût de la rentrée universitaire 2011 augmente de 4,1 % selon l'Unef et de 4,2 % selon la Fage par rapport à 2010, d'après des enquêtes réalisées par les deux organisations étudiantes et rendues publiques lundi 22 août 2011. Selon les calculs de la Fage, les étudiants franciliens d'un établissement d'enseignement supérieur public devront payer une moyenne (1) de 2 657,30 euros pour la rentrée universitaire 2011, contre 2 564,70 euros en 2010. Pour les étudiants de province, le coût de la rentrée universitaire s'élèvera à 2 265,80 euros, contre 2 167,30 en 2010. Les deux associations dénoncent une augmentation des dépenses obligatoires, soit l'augmentation « des frais d'inscription » (AEF n°236779), de la « sécurité sociale étudiante » et du « ticket de restaurant universitaire » (AEF n°236550). En 2010, la Fage estimait que le coût de la rentrée avait augmenté de 2,5 % (AEF n°262116), tandis que l'Unef avançait une augmentation de 3,3 % (AEF n°262116).
« Non », il n'y a pas d'engagement sur le versement d'un dixième mois de bourse, déclare François Baroin, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, lundi 1er août 2011 au micro de « France Inter ». Interrogé sur sa capacité à garantir l'application de cette mesure, le ministre indique que « le budget 2012 ne sera pas un budget qui aura pour objectif d'additionner des chèques pour faire plaisir à telle ou telle catégorie de population ». Le versement d'un 10e mois de bourse avait été annoncé en septembre 2009 par le président de la République Nicolas Sarkozy pour compenser l'allongement de l'année universitaire (AEF n°288538). Un demi-mois a été versé en septembre 2010, l'autre demi-mois devait l'être en septembre 2011 (AEF n°136479).
« L'avis du conseil d'administration du Cnous est consultatif », affirme à AEF le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, jeudi 7 juillet 2011, alors que Laurent Wauquiez a validé l'augmentation du prix du ticket de restaurant universitaire de 1,6 % (+ 5 centimes) pour la rentrée prochaine (AEF n°236607) et que le CA du Cnous a voté contre le 1er juillet (AEF n°237005). Il assure également qu' « il y a déjà eu des précédents, notamment 2003 » où le CA du Cnous s'était également prononcé contre une augmentation du prix du ticket RU (AEF n°425786).
En taux plein, les droits de scolarité passeraient de 174 à 177 euros en licence (+1,7 %), de 237 à 245 euros (+3,4 %) en master et de 359 à 372 euros (+3,6 %) en doctorat, à la rentrée 2011, indique une circulaire datée du 1er juillet 2011, adressée par le Dgesip, Patrick Hetzel, aux présidents et directeurs des établissements publics d'enseignement supérieur, dont AEF a eu copie. La circulaire précise que l'arrêté est « en cours de signature ».
Le coût de la rentrée étudiante 2010 augmente de 3,3 % selon l'Unef et de 2,5 % selon la Fage par rapport à 2009, d'après des enquêtes réalisées par les deux organisations étudiantes (1) et rendues publiques lundi 23 août 2010. Ainsi, le coût de la rentrée 2010 va s'établir entre 625 euros et 2 360 euros par étudiant pour l'Unef, soit une augmentation de 1,7 % à 6,1 % par rapport à 2009. Pour la Fage, la rentrée coûtera 2 569 euros à un étudiant francilien et 2 171 euros pour un étudiant de province. En 2009, cette dernière estimait que le coût de la rentrée avait augmenté de 3 % (AEF n°293037), tandis que l'Unef avançait une augmentation de 3,2 % (AEF n°293012 ). De son côté, le MESR qualifiait de « stable » le coût de la rentrée 2009 par rapport à 2010 (AEF n°292913).
Le coût mensuel de la vie étudiante pour 2009-2010 augmente de 3,2 % par rapport à l'année dernière, affirme l'Unef mardi 25 août 2009, qui communique les résultats de son enquête annuelle sur ce sujet. « L'effet de cette hausse est accentué par le contexte de déflation, de - 0,7 % sur un an selon l'Insee », écrit l'Unef. En 2008, l'augmentation du coût de la vie étudiante avait été chiffrée à 5,9 % (AEF n°310350).
La Cour de cassation rappelle dans deux arrêts du 18 janvier 2023 que l’employeur doit mettre en œuvre les critères d’ordre des licenciements de manière loyale, objective et pertinente. Tel n’est pas le cas de la décision de l’employeur de valoriser, au titre des qualités professionnelles, un diplôme de langue de faible intérêt pour un poste administratif dans un établissement agricole, ou de pondérer le critère des charges de famille par tranches d’âge des enfants sans que cette distinction soit justifiée.