En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
« Il faut bien entendu revenir sur le moratoire des tarifs photovoltaïques et revoir la stratégie d'EDF […] À l'évidence, les technologies et énergies vertes doivent faire partie des priorités de la politique industrielle de la France », déclare jeudi 1er septembre 2011 à Bègles (Gironde) Alain Rousset, président PS de la région Aquitaine, président de l'ARF (Association des régions de France) et responsable de la réflexion sur la politique industrielle dans l'équipe de campagne de François Hollande, candidat à l'élection présidentielle.
Le député EELV Noël Mamère (Gironde) estime que « la bataille de la décentralisation énergétique ne fait que commencer », dans une tribune publiée sur son site internet mardi 30 août 2011, cosignée par Peggy Kançal, conseillère régionale EELV d'Aquitaine. Il s'appuie pour cela sur l'instruction du gouvernement qu'a envoyée aux préfets de région, fin juillet, Nathalie Kosciusko-Morizet à propos de l'élaboration des SRCAE (schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie). La ministre du Développement durable y déclare que « des motions générales en faveur de la sortie ou du maintien du nucléaire, ou d'appui général aux énergies renouvelables, ne sont pas appropriées dans le cadre de cet exercice ». Pour les deux élus EELV, c'est le signe du « malaise » de la ministre vis-à-vis de « l'engagement de quatorze régions, dont la région Aquitaine, qui se sont prononcées en faveur d'un processus de sortie du nucléaire » (L'AEF n°237140).
Nathalie Kosciusko-Morizet demande aux préfets de région de s' « engager personnellement » pour que les SRCAE (schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie) soient adoptés « fin 2011 », dans une instruction du gouvernement adressée aux préfets de région, datée du 29 juillet 2011, et rendue publique le 8 août. La ministre du Développement durable invoque « les risques encourus dans le cas où l'adoption [du] schéma ne serait prévue qu'en 2012 », notamment « la période de réserve liée au calendrier électoral, qui ne facilitera pas l'avancée des travaux et la tenue de réunions de concertations ou de validation ».
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.