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« Aucune opposition globale mais une grosse nuance à apporter en ce qui concerne le corps préfectoral. » C'est ainsi qu'Émilie Thérouin, adjointe au maire d'Amiens en charge de la sécurité et de la prévention des risques urbains et membre du groupe de travail sécurité publique d'EELV (Europe Écologie-Les Verts), réagit à la publication de l'ouvrage de Jean-Jacques Urvoas intitulé « Onze propositions chocs pour rétablir la sécurité » (AEF Sécurité globale n°234335). Contrairement au secrétaire national du PS, elle estime que les préfets doivent relever du Premier ministre et non du ministère de l'Intérieur, car ces fonctionnaires « brouillent l'action de la police ». Cette dernière « doit rendre compte aux citoyens et pas aux préfets », indique-t-elle à AEF Sécurité globale.
« Une politique publique de sécurité ne pourra être efficace sans respect des libertés et droits humains, ni partenariat serein entre les producteurs de sécurité : État, citoyens, polices, justice, éducation nationale, bailleurs, transporteurs, collectivités locales… La politique écologiste de sécurité ne peut s'inscrire qu'au sein d'une politique ambitieuse de transformation sociale. » C'est ce qu'écrivent Pierre Januel, co-responsable de la commission Justice d'Europe Écologie-les Verts, et Émilie Thérouin, adjointe au maire d'Amiens (EELV) en charge de la sécurité et de la prévention des risques urbains, dans l'ouvrage du Cédis (Centre d'écodéveloppement et d'initiative sociale) « La sécurité urbaine en questions, comprendre pour agir aujourd'hui dans sa collectivité et sur son territoire » (AEF Sécurité globale n°234005).
28 associations bénéficieront de financements du gouvernement pour mener à bien des actions en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes. Elles ont remporté l’appel à projets lancé en mars 2022, doté d’une enveloppe totale d’un million d’euros. Les projets financés visent en particulier à "permettre à un plus grand nombre de femmes d’accéder à une autonomie économique", à "permettre aux femmes, notamment celles les plus éloignées de l’emploi, de s’insérer professionnellement" et à "promouvoir la mixité dans des secteurs identifiés comme non mixtes".