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François Hollande, candidat à la primaire socialiste, souhaite « mener, en liaison avec l'OPECST, une évaluation transparente et débattue politiquement de l'ANR, de l'Aeres, permettant de redéfinir les missions de ces deux instances et de redonner des initiatives aux organismes et au Parlement dans l'orientation des grands programmes stratégiques de recherche fondamentale comme orientée ». C'est ce qui ressort de son programme « enseignement supérieur et recherche », rédigé par Geneviève Fioraso, députée PS de l'Isère et le député de Meurthe-et-Moselle Jean-Yves Le Déaut. Les deux députés se sont appuyés sur un groupe de travail d'une « dizaine d'universitaires et chercheurs ». Le projet de François Hollande est structuré autour de deux axes : « démocratiser l'accès à l'enseignement supérieur et multiplier par deux le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur en quinze ans » et « rétablir la confiance avec les chercheurs et les enseignants-chercheurs et assurer la reconnaissance internationale de l'université et de la recherche françaises ».
La « priorité » de François Hollande, candidat à la primaire socialiste, concernera « la réussite des étudiants de premier cycle à l'université ». C'est ce qui ressort de son programme « enseignement supérieur et recherche », rédigé par Geneviève Fioraso, députée PS de l'Isère, et Jean-Yves Le Déaut, député de Meurthe-et-Moselle. Les deux députés se sont appuyés sur un groupe de travail d'une « dizaine d'universitaires et chercheurs ». Le projet de François Hollande est structuré autour de deux axes : « démocratiser l'accès à l'enseignement supérieur et multiplier par deux le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur en 15 ans » et « rétablir la confiance avec les chercheurs et les enseignants-chercheurs et assurer la reconnaissance internationale de l'université et de la recherche françaises ».
« François Hollande ne fait pas de promesse mirifique qu'il ne pourra pas tenir, il ne promet pas une revalorisation à tout le monde, mais il a clairement fait de la jeunesse sa priorité », déclare à AEF Geneviève Fioraso, députée PS de l'Isère et chargée de rédiger le programme « enseignement supérieur et recherche » de François Hollande, candidat à la primaire socialiste, avec le député de Meurthe-et-Moselle Jean-Yves Le Déaut (AEF n°236056). Les deux députés se sont appuyés sur un groupe de travail d'une « dizaine d'universitaires et chercheurs ». Le projet de François Hollande est structuré autour de deux axes : « démocratiser l'accès à l'enseignement supérieur et multiplier par deux le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur en 15 ans » et « rétablir la confiance avec les chercheurs et les enseignants-chercheurs et assurer la reconnaissance internationale de l'université et de la recherche françaises ».
« Le projet que nous portons est clair : les lois, décrets et outils qui sapent les laboratoires et universités seront remplacés après une large consultation par une loi qui donnera l'ambition d'un service public d'enseignement supérieur et de recherche moderne, fier de ses valeurs, centré sur la coopération, la démocratie, la collégialité, les libertés académiques. » C'est ce que déclare Arnaud Montebourg, candidat à la primaire socialiste pour les élections présidentielles de 2012, dans une « tribune » qu'il cosigne avec son porte-parole Bertrand Monthubert, secrétaire national du Parti socialiste chargé de l'enseignement supérieur et de la recherche, jeudi 22 septembre 2011 sur le site « Rue89 ». En déplacement en Haute-Garonne le même jour, il consacre une partie de sa visite aux questions de recherche et d'enseignement supérieur en se rendant au laboratoire de physique et chimie des nano-objets, dirigé par Bruno Chaudret, président du conseil scientifique du CNRS. Il participe aussi à une « réunion-débat avec les étudiants et personnels de la recherche et de l'enseignement supérieur », à Toulouse, au cours de laquelle il présente son programme.
« Lancer une mission de réflexion sur un équilibre optimal de la répartition des rôles entre organismes de recherche, universités et agences ». Telle est la proposition du groupe de réflexion Terra Nova dans un rapport intitulé « Projet 2012-Faire réussir nos étudiants, faire progresser la France : Propositions pour un sursaut vers la société de la connaissance », publié le 23 août 2011. La contribution est le résultat des réflexions du groupe de travail sur l'enseignement supérieur et la recherche, présidé par Yves Lichtenberger, ancien président du PRES Paris-Est (1). Actuellement, « la répartition des rôles entre les organismes, réduits au rôle d'agences de 'moyens humains', mais sans capacité réelle de financement de la recherche, les universités, opérateurs de recherche, et les agences qui ont la responsabilité principale du financement de la recherche est une question essentielle ».
« Nous recentrerons les missions de l'Agence nationale de la recherche dans son rôle de coordination ». Telle est l'une des propositions sur la recherche du projet du PS (Parti socialiste) pour 2012. Elles sont présentées mercredi 18 mai 2011 lors d'un « forum des idées », à Toulouse (AEF n°240841), après avoir été validées par le bureau national le 17 mai. Détaillées dans un document d'une trentaine de pages, elles précisent les grands axes du projet du PS rendu public début avril (AEF n°244063). Considérant que l'ANR a « contribué à développer la précarité dans la recherche », les socialistes préconisent un « audit extérieur », avant de réviser « à la fois ses objectifs, son fonctionnement et son budget ». « Celui-ci sera diminué, en augmentant d'autant les moyens de base des laboratoires universitaires et des organismes ». Quant au rôle de l'ANR, il « sera de mettre en oeuvre des programmes de coordination en matière de recherche orientée entre plusieurs organismes et universités, dans le cadre de priorités définies par le pouvoir politique ». Le PS considère que « cette agence doit être une structure légère, d'interface, dont le fonctionnement doit être démocratique, à l'instar de la DFG allemande ».