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« L'Uni-Lycée a lancé aujourd'hui une chaîne de SMS pour lutter contre une rumeur qui s'est propagée en fin de semaine prétendant la suppression d'un mois des vacances d'été », fait savoir l'organisation lycéenne lundi 3 octobre 2011. Ainsi, « 3 500 'textos' ont aujourd'hui été envoyés par l'Uni ». « Depuis quelques jours, certains lycées sont mobilisés contre la réduction des vacances scolaires. Des manifestations d'une violence extrême ont éclaté, comme dans les Yvelines où plusieurs voitures ont été retournées par les manifestants (AEF n°231461) », rappelle l'Uni-Lycée.
« Il y a un certain nombre de rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux à propos d'une réduction des vacances scolaires », explique à AEF Christian Wassenberg, IA de l'Essonne, département concerné par « quelques barrages le jour de la grève », puis « quelques blocages » d'établissements « ponctuels ». Selon « la rumeur », les vacances scolaires seraient « réduites d'un mois ». « C'est une rumeur que nous démentirons à chaque fois qu'elle nous parviendra, auprès des parents et auprès des élèves », assure-t-il, tout en rappelant que « ce département n'est pas le seul concerné ». Sur Facebook, un groupe « contre la suppression d'un mois de vacances par M. Sarkozy » a été créé. Il rassemble 2 566 personnes.
« De mémoire, on n'a jamais connu une mobilisation aussi forte au sein du réseau de l'enseignement privé », indique à AEF Bernard Le Page, responsable de la CFDT 35, concernant la mobilisation contre les suppressions de postes à Rennes mardi 27 septembre 2011. Entre 4 800 personnes selon la police et 15 000 manifestants selon les syndicats, ont défilé ce matin à partir de la place de la mairie. Les organisations syndicales Ferc-CGT, FSU, Sgen-CFDT et Unsa-Éducation appelaient « les personnels de l'Éducation nationale et de l'enseignement agricole public à se mettre en grève le 27 septembre pour protester contre les suppressions de postes » (AEF n°238794). Cinq syndicats du privé appelaient également à l'action (AEF n°233346). Selon la FSU, 120 000 personnes ont manifesté dans 72 départements.
« C'est important que le privé et le public soient ensemble dans la rue. Les problèmes sont les mêmes : sureffectif dans les classes, difficultés à prendre en charge les élèves en situation de handicap, une carte de formation qui se réduit avec des fermetures d'établissements en zone rurale et des conditions de travail des enseignants qui se dégradent », indique à AEF, mardi 27 septembre 2011, Bruno Lamour, le secrétaire général de la FEP-CFDT. Quatre organisations syndicales de l'enseignement privé (AEF n°233346) et quatre syndicats du public (AEF n°238794) appelaient à la grève, ce jour, pour protester contre les suppressions de postes dans l'Éducation. 45 000 personnes selon les organisations syndicales et 8 500 selon la police ont ainsi manifesté à Paris.
« Une réforme pérenne ne saurait être installée dans l'urgence, il faudra des étapes et une mise en œuvre progressive, voire des expérimentations », prévient le comité de pilotage sur les rythmes scolaires dans son rapport d'orientation intitulé « Des rythmes plus équilibrés pour la réussite de tous », remis à Luc Chatel lundi 4 juillet 2011. Installée le 7 juin 2010 par le ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative, la conférence nationale sur les rythmes scolaires a remis un « rapport de synthèse » des auditions, des débats en académies et des échanges sur internet le 25 janvier 2011 (AEF n°250042). Le ministre annonce ce lundi 4 juillet, poursuivre « l'objectif d'une réforme globale pour la rentrée 2013 ». Une « consultation des partenaires de l'école », « organisations syndicales, associations de parents d'élèves, représentants des collectivités et des professionnels des différents secteurs économiques concernés par cet enjeu », sera engagée « dès la prochaine rentrée scolaire, afin que les premières orientations puissent être annoncées à l'automne », annonce encore Luc Chatel.
« Hesam, ce n'est pas vendeur ! S'il y a une critique que l'on peut adresser à votre PRES, c'est le nom », déclare Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, à l'occasion de la signature de la convention constitutive du troisième pôle de recherche et d'enseignement supérieur parisien, Hesam (Hautes Études - Sorbonne - Arts & Métiers), mardi 7 décembre 2010, tout en s'excusant de « mettre les pieds dans le plat ». « Il faut que l'on installe une image de marque mondiale. Hesam ne peut être qu'une étape intermédiaire, il faudra certainement rebaptiser votre PRES. Prenez tous le nom 'Sorbonne', 1, 2, 3… Je reviens d'Inde et je vais à Moscou, et je constate que nous avons un vrai déficit en termes de relations internationales. Il n'est en tout cas pas question pour moi que la marque Sorbonne soit accaparée par un seul PRES », poursuit la ministre, devant les représentants des douze établissements membres d'Hesam (1).