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« Selon les chiffres semi-définitifs de Pôle emploi, le recul des effectifs salariés a cessé dans le bâtiment au premier trimestre 2011. De fait, les entreprises de bâtiment auraient regagné de l'ordre d'une centaine de postes pérennes par rapport au premier trimestre 2010 et 2011 et d'un peu plus de 6 000 depuis le début 2011. » C'est ce qu'indique une note de conjoncture sur l'activité dans le bâtiment présentée par la FFB (Fédération française du bâtiment), mardi 4 octobre 2011. Au total dans le secteur du bâtiment, en additionnant effectifs salariés et postes d'intérim en équivalents-temps plein, le gain net d'emplois s'établirait à environ « 5 700 par rapport au deuxième trimestre 2010, principalement du fait de la hausse de l'intérim », et à « 12 100 entre fin 2010 et fin juin 2011, grâce à la hausse simultanée de toutes les natures de contrats », indique la fédération, pour qui « l'amélioration prévue se dessine sur le premier semestre 2011 ».
« Les chiffres de l'emploi marquent une réelle reprise de l'intérim, préalable classique à la reprise des embauches. », déclare Didier Ridoret, président de la FFB à l'occasion de la présentation d'une note de conjoncture dans le secteur du bâtiment, mardi 5 avril 2011. Au global, pour le bâtiment, en additionnant effectifs salariés et postes d'intérim en équivalents temps-plein, la perte nette s'établirait à environ « 16 900 emplois en moyenne annuelle en 2010, l'intégralité du mouvement s'expliquant par la baisse des effectifs salariés, alors que l'équivalent de 1 100 postes supplémentaires à temps plein auraient été pourvus par l'intérim ». En décembre, Didier Ridoret estimait la perte d'emplois en moyenne annuelle à 15 000 postes (AEF n°252959).
« Le bilan de l'activité en 2010 s'avère particulièrement compliqué à établir. […] Au global, nous retenons pour le bâtiment un recul de l'activité de 3,4 % en 2010. Conséquence de cette modération du recul de l'activité d'ensemble, la perte d'emplois se limiterait en moyenne annuelle à 15 000 postes au total avec une reprise de l'interim, soit environ 6 000 équivalents temps supplémentaires, plein et une baisse mesurée des effectifs salariés (21 000) », déclare Didier Ridoret, président de la FFB, (fédération française du bâtiment), au cours d'une conférence de presse, mercredi 15 décembre 2010. En 2009, conséquence directe de la crise économique, 45 300 emplois avaient été détruits dans le bâtiment (AEF n°272285). Début 2010, la FFB tablait sur une destruction de 30 000 emplois sur l'année 2010, une prévision ramenée à 20 000 postes à la fin deuxième trimestre (AEF n°260033).
« D'après les statistiques révisées de la Dares, le bilan de l'année 2009 est un peu meilleur que prévu en ce qui concerne l'emploi dans le bâtiment. De fait, alors qu'en novembre dernier nous anticipions un léger recul de l'intérim au second semestre, il s'est stabilisé. Au global, en additionnant effectifs salariés et postes d'intérim en équivalents temps plein, le bilan 2009 s'établit à 45 300 emplois perdus en moyenne sur l'année, soit un recul de 3,3 % » (qui se répartit en -2,3 % pour les salariés et -17,1 % pour l'intérim). C'est ce qu'indique Didier Ridoret, président de la FFB (Fédération française du bâtiment), à l'occasion d'une conférence de presse, mercredi 31 mars 2010. « Fin 2009, l'appareil de production du bâtiment comprenait donc près de 1,2 million de salariés et environ 82 000 intérimaires en équivalents temps plein », poursuit-il.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.