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« Les entreprises basées en Asie font des progrès réguliers pour répondre aux défis ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) qu'elles rencontrent, mais ont encore du chemin à parcourir avant de rattraper leurs concurrentes européennes », selon l'étude « l'état des lieux des entreprises responsables en Asie », menée par Eiris, centre de recherche britannique spécialisé dans l'investissement responsable, et publiée mardi 4 octobre 2011. L'étude se concentre sur 786 entreprises asiatiques (56 basées en Chine, 122 à Hong Kong, 47 à Singapour, 111 en Corée du Sud et 450 au Japon).
Face au changement climatique,« deux tiers des 100 plus grandes marques échouent dans la mise en place de politiques adéquates, de systèmes de management et de reporting. Et aucune n'a montré de solides aptitudes à gérer la question », indique un rapport, intitulé « Cool brands versus hot brands », publié par Eiris, centre de recherche britannique pour des investissements responsables, lundi 7 mars 2011. Pour réaliser son étude, Eiris a évalué la performance sur trois ans des 300 plus grosses entreprises mondiales (cotées à la Bourse de Londres) dans leur réponse face au changement climatique. « Notre analyse montre des signes encourageants, les entreprises se sont améliorées dans leur réponse au changement climatique sous la forme d'une meilleure gouvernance, de meilleures stratégies et plus de transparence. Néanmoins, aucune entreprise n'a réussi à mener une évaluation « avancée » de sa réponse.
C'est en Chine, en Égypte et au Vietnam que les investisseurs rencontrent les plus grands risques, ces trois pays possédant les « pires indicateurs ESG (environnement, social et gouvernance) des pays émergents », indique le centre de recherche britannique pour des investissements responsables Eiris, lundi 14 juin 2010. Il s'appuie sur la publication de sa version 2010 des « profils de la durabilité des pays », qui analyse les indicateurs ESG de 68 pays. Douze pays émergents sont notamment étudiés à titre de comparaison. Il s'agit du Brésil, de la Chine, de l'Égypte, de l'Inde, de l'Indonésie, du Mexique, du Pakistan, des Philippines, de la Russie, de la Corée du sud, de la Turquie et du Vietnam.
« Les grandes entreprises ne parviennent pas à protéger les droits des travailleurs dans leurs chaînes d'approvisionnement », c'est la principale conclusion d'un rapport d'Eiris, rendu public jeudi 17 décembre 2009. Eiris est un cabinet d'analyse ESG (environnementale, sociale et de gouvernance) des entreprises et des États. Le rapport se concentre sur les violations des normes fondamentales du droit du travail de l'OIT (Organisation internationale du travail) : travail des enfants, travail forcé, droits syndicaux et égalité des chances. Le document met ainsi en évidence que 45 % des entreprises analysées n'ont « aucune politique ou aucun système de management pour protéger les normes en droit du travail dans leurs chaînes d'approvisionnement et ne parviennent pas à donner des informations à ce sujet ». La recherche d'Eiris a porté sur les 2 700 entreprises de sa base de données, mais seules 350 entreprises ont été étudiées en profondeur.
« Seules 40 % des entreprises » ont pris des objectifs de réduction à long terme (soit plus de cinq ans), ce qui « reflète l'incertitude qui règne sur les futures politiques et sur l'issue du sommet de Copenhague ». C'est ce que conclut un rapport de l'institut de recherche britannique Eiris sur la performance des entreprises, publié en août 2009 et intitulé « La boussole des changements climatiques : en route vers Copenhague ». Cette étude se fonde sur l'examen des politiques des 300 plus grandes entreprises mondiales.