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Le PRES Université Paris-Est annonce jeudi 6 octobre 2011 « l'arrivée du CNRS et de l'Inserm parmi ses membres fondateurs » en la qualifiant d' « évolution institutionnelle remarquable ». « Cette arrivée souligne une fois de plus la qualité de la politique scientifique conduite au sein du PRES et la crédibilité des évolutions portées par les projets déposés dans le cadre du programme d'investissements d'avenir. » Le pôle y voit un « signe » de « la pertinence de la politique partenariale conduite dans les domaines qui constituent le socle du périmètre d'excellence sur lequel [le PRES] Université Paris-Est s'est construit ».
« Si la taille scientifique de notre PRES est modeste au regard des PRES de Paris intra-muros, nos résultats sont probablement les meilleurs de l'Île-de-France en termes d'efficience », déclare à AEF Simone Bonnafous, présidente de l'Upec, à l'occasion d'un entretien croisé avec Francis Godard, président de l'université Paris-Est Marne-la-Vallée, jeudi 19 mai 2011 (1). Les deux présidents reviennent sur les résultats de leur PRES Université Paris-Est aux différents appels à projets des investissements d'avenir, et notamment sur leur projet d'idex. Le jury a estimé « apparemment que la masse critique était insuffisante en nombre de doctorants » et regretté que « la gouvernance de l'idex proposée soit celle du PRES », explique Francis Godard. « Mais il est hors de question pour nous de multiplier les pôles de gouvernance », ajoute-t-il. « Nous sommes d'accord pour dire qu'il faut ouvrir la gouvernance du PRES à plus de partenaires extérieurs, mais non pour inventer une nouvelle structure du PRES », précise Simone Bonnafous. Interrogés sur un éventuel projet de fusion de leurs deux universités, ils indiquent que la question est « logiquement ouverte ». « Si un jour il y a fusion, elle doit être la conséquence d'un projet déjà bien avancé en commun et non l'inverse », précise toutefois Simone Bonnafous, complétée par Francis Godard qui estime qu'il « faut d'abord poser toutes les briques ». Enfin, ils reviennent sur l'opération campus et expliquent avoir « rencontré un vrai problème avec le cahier des charges des IEED puisque l'objectif affiché est de fournir des technologies brevetables à court terme, ce qui pose un problème de fond dans le domaine du développement durable urbain ou celui des services ».