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La mission d'audit de l'IGAENR estime le passage de l'université Paris-VIII Vincennes-Saint-Denis aux compétences élargies au 1er janvier 2012 « tout à fait envisageable », indique-t-elle dans son rapport définitif daté d'octobre 2011. La mission, qui avait rendu un premier rapport manifestant certaines inquiétudes sur la gestion financière, budgétaire et comptable, la GRH et les systèmes d'information, note « de nettes améliorations dans tous les domaines avec une très grande prise en compte de ses recommandations et un fort engagement de l'équipe présidentielle ». Elle salue en premier lieu « les nouveaux recrutements de qualité dans l'équipe administrative », celui de Valéry Molet, nouveau DGS depuis le 15 juin dernier (AEF n°238150), ainsi que ceux d'un agent comptable, d'un directeur des services financiers et d'un contrôleur de gestion, qui ont « amélioré le fonctionnement interservices et commencé à construire un pôle administratif beaucoup plus professionnel ». « De plus, face à l'urgence, certains débats récurrents et stériles semblent oubliés, ce qui est positif », écrit l'IGAENR. « La direction doit aujourd'hui veiller à ce que l'élan impulsé ne retombe pas. »
« Est-ce que le périmètre du labex est fixé et ne bougera plus pendant les dix années à venir ? Car en ce qui concerne Paris-X, nous sommes prêts à aller au-delà de notre équipe déjà partie prenante », déclare Bernadette Madeuf, présidente de l'université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense, à l'occasion de la première réunion des 14 partenaires (1) du labex « Arts et médiations humaines » (Arts-H2H), qui se tenait en Sorbonne, jeudi 7 juillet 2011. « Bien sûr, il est possible pour notre labex d'accueillir de nouveaux membres fondateurs et chaque fondateur peut élargir sa participation », répond Pascal Binczak, président de l'université Paris-VIII Vincennnes-Saint-Denis et porteur de ce labex classé « A+ » par le jury (AEF n°244929) et n°244797). « Faut-il y voir la préfiguration d'un futur PRES ? », ajoute-t-il, amusé. Interrogée en marge de cette réunion, Bernadette Madeuf précise avoir « toujours dit » qu'il n'est « pas question de faire un PRES avec Paris-VIII si l'on n'est que tous les deux », mais « pourquoi pas si l'on entraîne d'autres partenaires » (AEF n°237355).
« Notre schéma directeur immobilier sera un argument majeur pour convaincre l'État ou les collectivités de financer nos projets immobiliers. C'est une obligation que nous devons satisfaire pour obtenir des financements », déclare Pascal Binczak, président de l'université Paris-VIII Vincennes-Saint-Denis, devant la trentaine de personnes venues assister à la présentation du « schéma directeur immobilier, urbain et durable de Paris-VIII » aux trois conseils de l'université, jeudi 9 juin 2011. « Ce document nous permet de voir plus clair dans la faisabilité et la cohérence de nos projets », se réjouit-il. Alain Sinou, chargé de mission patrimoine de Paris-VIII, précise que le schéma directeur doit être « bouclé à l'été ». « Dès l'automne, il faut que l'on se lance dans les études de faisabilité, car il faut bien être conscient que les premiers servis seront ceux qui disposeront des documents de pré-faisabilité », estime-t-il. « C'est lors de cet approfondissement que l'on engagera un travail avec les usagers », répond-il aux quelques personnels inquiets de ne pas avoir été concertés sur les projets évoqués.
24,4 % des Biatoss de Paris-VIII souhaitent quitter leur université, 49,3 % rester, les autres ne s'exprimant pas : c'est ce qui ressort d'une « enquête de 100 pages sur les conditions de travail à l'université Paris-VIII Vincennes Saint-Denis » publiée lundi 30 mai 2011 par une intersyndicale Biatoss comprenant La Dionysoise - un syndicat local - la Ferc-Sup-CGT, le Sgen-CFDT et le Snasub-FSU. Ce questionnaire, ouvert en ligne du 25 février au 18 mars 2011, soit durant 22 jours, a permis de recueillir les réponses de 217 personnels Biatoss sur les 593 que compte l'établissement (soit 36,6 %), affirme l'intersyndicale. Il était également destiné aux enseignants-chercheurs, mais seuls 152 personnels sur les 1 752 que compte l'établissement ont répondu, soit 8,7 %. Les syndicats expliquent ce faible taux de réponses par le fait qu'ils ne « disposaient pas de liste de diffusion leur permettant de communiquer auprès de tous les enseignants, les chercheurs et les enseignants-chercheurs ».