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Inclure les informations environnementales, sociales et de gouvernance dans les rapports annuels des acteurs privés, instaurer une participation universelle au Pnue (programme des Nations unies pour l'environnement), qui ne compte actuellement qu'une soixantaine de membres. Voici les deux propositions phares du Brésil dans sa contribution envoyée au secrétariat des Nations unies, le 1er novembre 2011. Le Brésil accueillera du 20 au 22 juin 2012 la conférence des Nations unies sur le développement durable Rio+20, qui marquera les vingt ans du Sommet de la Terre de Rio. Deux thèmes sont inscrits à l'agenda : le cadre institutionnel du développement durable et la croissance verte dans un contexte de développement durable et d'éradication de la pauvreté.
La France, qui a lancé l'idée d'une Organisation mondiale de l'environnement, bénéficie notamment du soutien de l'Union européenne depuis 2005 et des pays de l'Union africaine depuis fin octobre, « et en tout d'une centaine de pays » [soit environ la moitié du nombre de pays représentés à Rio], assure Jean-Pierre Thébault, ambassadeur français de l'environnement et coordonnateur des administrations françaises en vue de la conférence des Nations unies de Rio+20 sur le développement durable. « Cette idée est loin de faire l'unanimité, mais aucun autre sujet ne mobilise autant. » Il s'exprime à l'occasion d'une rencontre sur Rio+20 organisée par l'association des journalistes de l'environnement, mardi 8 novembre 2011. La conférence Rio+20 marque le vingtième anniversaire du Sommet de la Terre de Rio de 1992 ; elle se tiendra à Rio du 20 au 22 juin 2012 autour de deux grands thèmes : le cadre institutionnel du développement durable et la croissance verte dans un contexte de développement durable et d'éradication de la pauvreté (L'AEF n°228615).
« Même dans un contexte de crise économique, l'économie verte reste pertinente et est plus que jamais à l'ordre du jour. Sinon, cela revient à dire que l'environnement est un luxe », souligne Sylvie Lemmet, directrice de la division technologie, industrie et économie du Pnue (Programme des Nations unies pour l'environnement), lors d'une rencontre sur Rio+20 organisée par l'association des journalistes en environnement, mardi 8 novembre 2011. La conférence sur le développement durable dite « Rio+20 » se tiendra à Rio de Janeiro (Brésil) du 20 au 22 juin 2012 au lieu du 4 au 6 juin initialement prévu (L'AEF n°228813). Ce report, annoncé vendredi 4 novembre au G20 de Cannes, a pour objectif de décaler la conférence par rapport aux célébrations du Jubilé de diamant (60 ans de règne) de la reine Elizabeth II d'Angleterre (2 au 5 juin), et de la rapprocher du G20 qui se tiendra au Mexique du 18 au 19 juin 2012 (Los Cabos, Basse-Californie).
La conférence sur le développement durable dite « Rio+20 » est « reportée aux 20, 21 et 22 juin 2012 », confirme à AEF Brice Lalonde, co-coordonnateur exécutif de la conférence des Nations unies, lundi 7 novembre 2011. Elle devait se tenir à Rio de Janeiro (Brésil) du 4 au 6 juin 2012, soit au même moment que les célébrations du Jubilé de diamant (60 ans de règne) de la reine Elizabeth II d'Angleterre du 2 au 5 juin. Par ailleurs, la dernière réunion de préparation de Rio+20, dite « PrepCom III », se déroulera du 13 au 15 juin.
« Les entreprises travaillent sur un projet de convention internationale sur le reporting », affirme Brice Lalonde, co-coordonnateur exécutif de la conférence des Nations unies sur le développement durable, lors d'un petit-déjeuner avec la presse, jeudi 13 octobre 2011. Cette conférence, dite Rio+20, aura lieu du 4 au 6 juin 2012 à Rio de Janeiro (Brésil). « J'ai demandé aux entreprises de se pencher sur le reporting, car il n'existe pas de formule unifiée et de fournir leurs demandes aux gouvernements et de convaincre leurs clients », ajoute-t-il.
Mercredi 25 janvier 2023, ICPF a annoncé ouvrir son capital à hauteur de 30 % par le biais d’une levée de fonds de 4 millions d’euros réalisée auprès de la société d’investissement CITA. Objectif : permettre à cet organisme de certification qualité, qui est accrédité par le Cofrac pour délivrer Qualiopi - cette activité représentant l’essentiel de son chiffre d’affaires, de lancer en septembre 2023 une nouvelle version de sa plateforme numérique avec pour ambition de proposer aux autres organismes certificateurs "une plateforme intégrée de gestion de leurs propres offres de certification, d’évaluation ou d’inspection", explique à AEF info François Galinou, le président d’ICPF. L'organisme souhaite également "déployer une offre de mise en relation entre les certificateurs et les organismes de formation qui ne savent pas nécessairement se faire habiliter sur Qualiopi."