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Vincent Peillon est en charge de l'éducation, de la jeunesse, de l'enseignement supérieur et de la recherche dans l'équipe de campagne de François Hollande. Le candidat PS à l'élection présidentielle de 2012 présente mercredi 16 novembre 2011 son équipe, par la voix de son directeur de campagne, Pierre Moscovici, député du Doubs. Selon Vincent Peillon, interrogé par AEF, Bruno Julliard, secrétaire national à l'éducation du PS, « devrait rejoindre l'équipe prochainement ». Elle sera « élargie à d'autres membres du PS dans les prochains jours ».
La « priorité » de François Hollande, candidat à la primaire socialiste, concernera « la réussite des étudiants de premier cycle à l'université ». C'est ce qui ressort de son programme « enseignement supérieur et recherche », rédigé par Geneviève Fioraso, députée PS de l'Isère, et Jean-Yves Le Déaut, député de Meurthe-et-Moselle. Les deux députés se sont appuyés sur un groupe de travail d'une « dizaine d'universitaires et chercheurs ». Le projet de François Hollande est structuré autour de deux axes : « démocratiser l'accès à l'enseignement supérieur et multiplier par deux le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur en 15 ans » et « rétablir la confiance avec les chercheurs et les enseignants-chercheurs et assurer la reconnaissance internationale de l'université et de la recherche françaises ».
François Hollande, candidat à la primaire socialiste, souhaite « mener, en liaison avec l'OPECST, une évaluation transparente et débattue politiquement de l'ANR, de l'Aeres, permettant de redéfinir les missions de ces deux instances et de redonner des initiatives aux organismes et au Parlement dans l'orientation des grands programmes stratégiques de recherche fondamentale comme orientée ». C'est ce qui ressort de son programme « enseignement supérieur et recherche », rédigé par Geneviève Fioraso, députée PS de l'Isère et le député de Meurthe-et-Moselle Jean-Yves Le Déaut. Les deux députés se sont appuyés sur un groupe de travail d'une « dizaine d'universitaires et chercheurs ». Le projet de François Hollande est structuré autour de deux axes : « démocratiser l'accès à l'enseignement supérieur et multiplier par deux le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur en quinze ans » et « rétablir la confiance avec les chercheurs et les enseignants-chercheurs et assurer la reconnaissance internationale de l'université et de la recherche françaises ».
« François Hollande ne fait pas de promesse mirifique qu'il ne pourra pas tenir, il ne promet pas une revalorisation à tout le monde, mais il a clairement fait de la jeunesse sa priorité », déclare à AEF Geneviève Fioraso, députée PS de l'Isère et chargée de rédiger le programme « enseignement supérieur et recherche » de François Hollande, candidat à la primaire socialiste, avec le député de Meurthe-et-Moselle Jean-Yves Le Déaut (AEF n°236056). Les deux députés se sont appuyés sur un groupe de travail d'une « dizaine d'universitaires et chercheurs ». Le projet de François Hollande est structuré autour de deux axes : « démocratiser l'accès à l'enseignement supérieur et multiplier par deux le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur en 15 ans » et « rétablir la confiance avec les chercheurs et les enseignants-chercheurs et assurer la reconnaissance internationale de l'université et de la recherche françaises ».
Martine Aubry et François Hollande, candidats déclarés aux primaires du Parti socialiste pour l'élection présidentielle de 2012, ont dévoilé leurs équipes de campagne, mardi 12 juillet 2011. La maire de Lille a choisi de confier les questions d'enseignement supérieur et de recherche au duo Isabelle This Saint-Jean et Vincent Berger : la première est vice-présidente du conseil régional d'Île-de-France en charge de l'enseignement supérieur et de la recherche, le second est président de l'université Paris-Diderot (Paris-VII). Le dossier « industrie-innovation-PME » est confié à Guillaume Bachelay, secrétaire national du PS à l'industrie, aux entreprises et aux nouvelles technologies.
« L'enseignement supérieur et la recherche sont plus pour nous qu'une priorité : c'est le cœur du modèle de société que nous voulons », déclare Martine Aubry, première secrétaire du Parti socialiste, lors de l'ouverture du « forum des idées » consacré à l'enseignement supérieur et de la recherche, qui se tient à Toulouse le 18 mai 2011 (1) (AEF n°240841). Ce forum est une « première étape importante » et à cette occasion, le PS diffuse un texte d'une trentaine de pages qui détaille ses propositions. Ce texte pourra être affiné, selon Bertrand Monthubert, secrétaire national à l'enseignement supérieur et à la recherche, et la députée de l'Isère, Geneviève Fioraso, organisateurs du forum. Martine Aubry « résume en deux mots » le projet du PS, « créativité et justice », et plaide pour « une société qui mise sur l'intelligence ».
Une loi de programmation pour l'enseignement supérieur et la recherche, un plan de recrutement, une réforme de la loi LRU, la création de « réseaux territoriaux de la connaissance », mise en place d'une allocation d'études pour les jeunes en formation… Ce sont quelques unes des propositions formulées par le Parti socialiste dans le cadre de son projet pour 2012. Elles sont présentées à l'occasion du « forum des idées » qui se tient à Toulouse le 18 mai 2011 (AEF n°240841), après avoir été validées par le bureau national réuni le mardi 17 mai. Elles détaillent, dans un document d'une trentaine de pages, les grands axes du projet rendu public début avril (AEF n°244065 et (AEF n°244063). Elles portent également sur la réussite des étudiants, la réforme de la licence, la remise à plat de la formation des enseignants et des études médicales (AEF n°240679) et sur la recherche (AEF n°240678). Le PS entend « restaurer la confiance » de la communauté universitaire et scientifique et « redonner de la liberté d'initiative ». Il prévoit qu'il organisera, « dès 2012, des assises de l'enseignement supérieur et de la recherche », soulignant que « toutes les décisions ont été prises sans concertation » par le gouvernement actuel. « Les mouvements sociaux du printemps 2009 et tous ceux qui se sont succédés depuis 2004 ont bien marqué le malaise d'une majorité de la communauté universitaire. Nous devons clarifier, simplifier et retrouver de la cohérence et de la sérénité ».
"La CGT et l’Union syndicale Solidaires appellent dès à présent à une journée de grève interprofessionnelle le jeudi 29 septembre, et qui doit s’inscrire dans une mobilisation large et dans la durée", font savoir les deux organisations syndicales, jeudi 7 juillet 2022. Pointant des mesures "pouvoir d’achat" "en dessous de la situation de paupérisation de la population", la "poursuite d’une politique qui va à l’encontre du droit des travailleurs" ou encore la "poursuite d’une réforme des retraites injuste qui exige de travailler plus", les deux organisations court-circuitent avec cette annonce les travaux de l’intersyndicale actuellement unitaire, qui doit se réunir le 11 juillet prochain.
Comme attendu, le premier projet de loi de finances rectificative pour 2022 prévoit de débloquer une "subvention exceptionnelle" de 2 Md€ pour équilibrer les comptes de France compétences structurellement déficitaires. Ce collectif budgétaire, qu’AEF info s’est procuré, est à l’ordre du jour du Conseil des ministres convoqué ce 7 juillet, à 16 heures. Le déficit de l’institution chargée du financement et de la régulation du système de formation professionnelle devrait approcher les 6 Md€ cette année. Or, France compétences n’a pu obtenir à ce jour que 2,6 Md€ d’emprunt auprès des banques, sur les 5 Md€ espérés. Cette rallonge de l’État de 2 Md€ s’ajoute aux deux subventions octroyées en 2021 pour un total de 2,75 Md€. Le PLFR prévoit, en outre, une enveloppe de 743 M€ pour financer la prolongation des aides exceptionnelles de l’État à l’embauche d’alternants jusqu’à la fin de l’année.
La DGCCRF, dans un communiqué publié ce 7 juillet 2022, fournit certains éléments de bilans de sa campagne de contrôle en 2020/2021 auprès des opticiens et audioprothésistes concernant la bonne application des règles du 100 % santé. Sur 1 000 contrôles menés dans 710 établissements, les inspecteurs déclarent avoir relevé au moins une ''anomalie'' dans 514 cas - un indicateur portant toutefois sujet à contestation (lire sur AEF info). Près de 384 avertissements auraient été délivrés, 123 injonctions de mise en conformité, 17 procès-verbaux administratifs et même procès-verbaux pénaux pour les cas les plus graves. Si des cas sont cités pour illustrer la diversité des anomalies identifiées, la liste et la proportion précise des infractions n’est pas détaillée, de même que la répartition entre opticiens et audioprothésiste. La DGCCRF indique qu’elle reconduira des contrôles en 2023.